AVORTEMENTS CHEZ L'ESPECE OVINE (Etude Bibliographique)

Abstract

Dans le but d'étudier les principaux problèmes d'élevage et la place qu'occupe les avortements parmi ces problèmes, on a cet aperçu bibliographique sur les causes infectieuses et parasitaires d'avortement chez les brebis et plus rarement, les facteurs non infectieux notemment les carences alimentaires et substances toxiques. Des examens sont indispensables pour établir un diagnostic de certitude, en vue d'un traitement et d'une prophylaxie adaptée. Ce travail vise à proposer un recueil d'examens à réaliser lors des résultats infructueux des analyses de routine concernant les maladies abortives. On représentant les importantes pertes d'agneaux attachées aux avortements des ovins et englobe les majeures causes qui sont en relief dans l'influence et le developpement de cette dangereuse manifestation concernant les motifs infectieux et non infectieux. Quand on parle des causes infectieuses, il y a les formes bactériennes telle que Brucellose, Chlamydiose, Fièvre Q, Salmonellose ; les formes virales sont mentionnées par Border disease, Fièvre catarrhale ovine, et la Peste virose ovine qui donnent l'image claire de l'effet pathogène des virus à propos des avortements ovins ; de l'autre côté, les causes parasitaires sont la Toxoplasmose et aussi Neosporose par leurs pathogénie, épidémiologie et clinique ainsi les modes de prophylaxie que l'on a prend pendant de très longues durées des études Des causes non infectieuses peuvent être introduites lors de cet évènement ovin; au sommet, le déséquilibre alimentaire favorise le risque et entraîne un dysfonctionnement de l'organisme soit de la brebis ou du foetus lui même par ses vastes modalités; carence ou excès en principales matières et intoxication par les composés stéroïdes. Une image investigative est proposé afin d'obtenir des orientations diagnostiques concernant les problèmes d'avortement dans les troupeaux malades Lors d'un avortement de ruminants (ovins), les techniques les plus utilisées sont bactérioscopie, sérologie et recherche PCR pour les agents pathogènes suivants : Chlamydia spp., Coxiella burnetii (agent de la Fièvre Q) et Toxoplasma gondii. Il convient de recommander de réaliser les recherches PCR sur des prélèvements d'avorton plutôt que le placenta. Enfin, l'importance du nombre de résultats PCR positifs lors de recherche de toxoplasmose chez les petits ruminants permet d'argumenter le fait que la PCR est un précieux outil de diagnostic, correctement lié à la sérologie. Atteindre et conserver un haut niveau sanitaire dans un élevage permet d'avoir un troupeau sain et performant, participe à la sécurité sanitaire des denrées alimentaires d'origine animale et protège l'éleveur vis-à-vis des maladies zoonotiques transmissibles à l'homme