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Titre: Approche Méthodologique de L'activté Antimicrobienne des Huiles Essentielles: Fragrance de Citronnelle (cymbopogon citratus(DC).).)
Auteur(s): TAYEBI, Khadidja
Mots-clés: Activité Antimicrobienne
Huiles Essentielles
Cymbopogon citratus
Aromatogramme
Microatmosphèrel
CMI
citra
Date de publication: jui-2013
Résumé: L’activité antimicrobienne des huiles essentielles (HE) in vitro a fait l’objet de plusieurs études scientifiques. Cependant, les méthodes utilisées sont nombreuses et donnent parfois des résultats différents ou contradictoires. L’objectif assigné à notre travail consiste à asseoir l’activité antimicrobienne de l’HE d’une plante à parfum largement exploitée en aromathérapie, la Citronnelle (Cymbopogon citratus), par plusieurs méthodes microbiologiques, qualitative et quantitative. La composition chimique de l’HE, extraite par l’entraînement à la vapeur d’eau, a été déterminée par chromatographie en phase gazeuse. Le Géranial est le composé majoritaire de cette huile avec un taux de 28,9%, suivi par le Néral (24,3%) et le Myrcène (23,9%). Le screening antimicrobien de l’HE a été accompli par différentes méthodes sur des souches de référence et isolées cliniquement (20 bactéries, 9 levures et 4 moisissures). En phase liquide (aromatogramme), l’huile a exhibé une activité bactériostatique majeure sur les bactéries à Gram+ avec des diamètres de zones d’inhibition (DZI) qui varient entre 34 et 85mm pour le genre Staphylococcus. De plus, cette huile est fongicide car la majorité des souches mycéliennes ont été inhibées totalement. En phase vapeur (microatmosphère), de meilleurs résultats ont été obtenus notamment pour les Gram+ où l’HE est avérée bactéricide avec une dose de 3 gouttes par disque. En diffusion à partir de puits, l’essence est plus active sur les levures et les moisissures avec des valeurs de DZI oscillant entre 20 et 85 mm. En dilution à partir d’un disque, ce sont les levures qui ont été fortement inhibées avec des DZI qui s’échelonnent de 18 à 40 mm. Les concentrations minimales inhibitrices (CMI) ont été déterminées par la méthode de dilution en milieu gélosé. Les levures et les Gram+ sont les plus sensibles avec des CMI qui varient entre 0.625 et 1.25 mg/mL. Les Gram- sont toujours les plus résistants avec des CMI supérieures à 1.25 mg/mL. Les résultats obtenus prouvent qu’il n’y a pas une méthode qui prime, mais que toutes sont complémentaires. Le choix de celle-ci dépendra grandement des objectifs recherchés.
Description: 54p. ;30cm. ;ill. +cd rom
URI/URL: http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/2242
Collection(s) :Mémoires de Master

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