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dc.contributor.authorHAMMOU ABDALLAH, Baelhadj-
dc.contributor.authorBAGHBAGHA, Idris-
dc.date.accessioned2023-10-23T11:37:46Z-
dc.date.available2023-10-23T11:37:46Z-
dc.date.issued2022-
dc.identifier.urihttps://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/25806-
dc.description.abstractLa ville de Ghardaïa, dispose de plusieurs atouts liés à son rayonnement culturel, à ses fonctions économiques et à ses potentialités touristiques. Ces atouts lui ont permis son double classement en tant que patrimoine national en 1971 et patrimoine de l’humanité en 1982 Le peuplement de la vallée du M’Zab le long de l'Oued a su trouver la juste mesure pour gérer harmonieusement la vallée, en aménageant le fond de l'Oued en palmeraies et les collines en lieux d'habitat, en développant un esprit de communauté fait de solidarités et de rationalité. Aujourd’hui on constate que ces les données ont fondamentalement changés. Aujourd’hui, La Vallée du M’Zab a connu des mutations profondes à l’échelle socio culturelle, économique, et de mode de croissance. Le résultat est un centre urbain complexe menaçant l’équilibre de son écosystème et remettant en cause ce bien du patrimoine universel. Comme toute implantation saharienne, l’écosystème oasien de la vallée du M’Zab se compose de trois (3) éléments fondamentaux à savoir le Ksar, la palmeraie, et l’eau. Ce tripler est désormais en voie de disparition à cause de l’urbanisation illicite et anarchique qui a consommée des superficies considérables et parfois totale comme le cas de la palmeraie de « Melika », l’une des Ksour de la pentapole de la vallée du M’Zab. Malgré l’armada des textes juridiques relatifs à la planification urbaine et à la protection du patrimoine culturel et les différents plans de gestion du territoire et de l’urbanisation et de sauvegarde, la dégradation des palmeraies continue et évolue d’une façon accélérée notamment ces dernières décennies (les inondations dévastatrices de 2008, les émeutes de 2013,2014). Ce qui attire vraiment l’attention c’est qu’après les inondations qui ont causé beaucoup de Dégâts matériels et humains, notamment au niveau des palmeraies, les habitants reviennent pour y habiter et même y construire illicitement de nouvelles habitations. La non adaptation des programmes de l’habitat comme alternatif à ce phénomène semble être la cause principale de ce phénomène, car ils ne répondent guère aux aspects socio-culturel de la communauté mozabite qui forme la quasi-totalité des habitants des palmerais. Dans notre travail nous nous penchons sur l’analyse de ce phénomène pour une meilleure lecture et definition de ses tenants et aboutissants. Enfin on met en exergue des propositions permettant de preserver ce qui reste de cet ecosysteme oasien tout en répondant aux besois de la societé habitante, sans remettre en cause l’équilibre fondamental de son écosystème particulier et prenant en compte ses aspects socio-culturel et architectural exceptionnels.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisheruniversité BLIDA1 Institut d'architecture et d'urbanismefr_FR
dc.relation.ispartofseries4.720.1938;-
dc.subjectArchitecturefr_FR
dc.subjectpatrimoinefr_FR
dc.subjectLes écosystèmes oasiensfr_FR
dc.subjectM’ Zabfr_FR
dc.subjectle mitage urbainfr_FR
dc.subjectla palmeraie de Ghardaïafr_FR
dc.subjectGhardaïafr_FR
dc.titleLes écosystèmes oasiens de la vallée du M’ Zab, Vers une protection contre le mitage urbainfr_FR
dc.title.alternativeCas de la palmeraie de Ghardaïafr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires de Master

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