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https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/2702
Titre: | RENOUVELLEMENT DES ZONES DE REPTURE DES CENTRE HISTOTIQUE PROJET: POLYCLINIQUE |
Autre(s) titre(s): | CAS DE LA VILLE DE MILA |
Auteur(s): | ZEMAME, NOUREDINE |
Mots-clés: | renouvellement urbain requalification urbaine réaménagement projet urbain Mila patrimoine colonial dynamique urbaine |
Date de publication: | 2018 |
Editeur: | université blida1 Institut d'architecture et d'urbanisme |
Collection/Numéro: | ;4.720.1172 |
Résumé: | La nécessité d’intervention se faisait sentir, et on pouvait observer dès les années 70, une multitude d’interventions et d’opérations entreprises, en vue d’améliorer la qualité de vie urbaine dans ces cités. Contestées, remises en cause et rejetées par leur habitants, ces grandes unités d’habitation ont été souvent associées à des opérations de réhabilitation, de redynamisation, de rénovation, de restructuration, d’intégration et enfin de stratégies de renouvellement urbain, portées par une politique de Projet Urbain. MILA a vécu un développement spectaculaire et un essor considérable se traduisant physiquement par une transformation radicale du tissu urbain, qui se trouve envahit par une forte urbanisation concrétisé par une dynamique urbaine conséquente ; et par une mutation économique dans le secteur d’activités. « Bien que des problèmes humains qui peuvent être résolus avec le temps sont rigoureusement insolubles lorsqu’on ne dispose pas d’un délai convenable et des moyens adéquats pour y faire face » Albert Guichard. Ce récit est applicable sur notre patrimoine colonial. En effet, il est temps de se soucier du devenir du patrimoine bâti dont nous avons la charge et qui véhicule des valeurs historiques, culturelles et sociales inestimables. Telles que l’on ne doit plus sacrifier. La présente réflexion à été motivée par une certaine inquiétude ressentie quant au devenir de notre patrimoine et ses caractéristiques. Elle porte sur l’inscription dans le temps attendu de cet axe principale (RN79) de ville de Mila, et sur la forme qui correspond à ses usages ; son rôle social, culturel et particulièrement urbain. La nécessité d’intervention se faisait sentir, et on pouvait observer dès les années 70, une multitude d’interventions et d’opérations entreprises, en vue d’améliorer la qualité de vie urbaine dans ces cités. Contestées, remises en cause et rejetées par leur habitants, ces grandes unités d’habitation ont été souvent associées à des opérations de réhabilitation, de redynamisation, de rénovation, de restructuration, d’intégration et enfin de stratégies de renouvellement urbain, portées par une politique de Projet Urbain. MILA a vécu un développement spectaculaire et un essor considérable se traduisant physiquement par une transformation radicale du tissu urbain, qui se trouve envahit par une forte urbanisation concrétisé par une dynamique urbaine conséquente ; et par une mutation économique dans le secteur d’activités. « Bien que des problèmes humains qui peuvent être résolus avec le temps sont rigoureusement insolubles lorsqu’on ne dispose pas d’un délai convenable et des moyens adéquats pour y faire face » Albert Guichard. Ce récit est applicable sur notre patrimoine colonial. En effet, il est temps de se soucier du devenir du patrimoine bâti dont nous avons la charge et qui véhicule des valeurs historiques, culturelles et sociales inestimables. Telles que l’on ne doit plus sacrifier. La présente réflexion à été motivée par une certaine inquiétude ressentie quant au devenir de notre patrimoine et ses caractéristiques. Elle porte sur l’inscription dans le temps attendu de cet axe principale (RN79) de ville de Mila, et sur la forme qui correspond à ses usages ; son rôle social, culturel et particulièrement urbain. La nécessité d’intervention se faisait sentir, et on pouvait observer dès les années 70, une multitude d’interventions et d’opérations entreprises, en vue d’améliorer la qualité de vie urbaine dans ces cités. Contestées, remises en cause et rejetées par leur habitants, ces grandes unités d’habitation ont été souvent associées à des opérations de réhabilitation, de redynamisation, de rénovation, de restructuration, d’intégration et enfin de stratégies de renouvellement urbain, portées par une politique de Projet Urbain. MILA a vécu un développement spectaculaire et un essor considérable se traduisant physiquement par une transformation radicale du tissu urbain, qui se trouve envahit par une forte urbanisation concrétisé par une dynamique urbaine conséquente ; et par une mutation économique dans le secteur d’activités. « Bien que des problèmes humains qui peuvent être résolus avec le temps sont rigoureusement insolubles lorsqu’on ne dispose pas d’un délai convenable et des moyens adéquats pour y faire face » Albert Guichard. Ce récit est applicable sur notre patrimoine colonial. En effet, il est temps de se soucier du devenir du patrimoine bâti dont nous avons la charge et qui véhicule des valeurs historiques, culturelles et sociales inestimables. Telles que l’on ne doit plus sacrifier. La présente réflexion à été motivée par une certaine inquiétude ressentie quant au devenir de notre patrimoine et ses caractéristiques. Elle porte sur l’inscription dans le temps attendu de cet axe principale (RN79) de ville de Mila, et sur la forme qui correspond à ses usages ; son rôle social, culturel et particulièrement urbain. La nécessité d’intervention se faisait sentir, et on pouvait observer dès les années 70, une multitude d’interventions et d’opérations entreprises, en vue d’améliorer la qualité de vie urbaine dans ces cités. Contestées, remises en cause et rejetées par leur habitants, ces grandes unités d’habitation ont été souvent associées à des opérations de réhabilitation, de redynamisation, de rénovation, de restructuration, d’intégration et enfin de stratégies de renouvellement urbain, portées par une politique de Projet Urbain. MILA a vécu un développement spectaculaire et un essor considérable se traduisant physiquement par une transformation radicale du tissu urbain, qui se trouve envahit par une forte urbanisation concrétisé par une dynamique urbaine conséquente ; et par une mutation économique dans le secteur d’activités. « Bien que des problèmes humains qui peuvent être résolus avec le temps sont rigoureusement insolubles lorsqu’on ne dispose pas d’un délai convenable et des moyens adéquats pour y faire face » Albert Guichard. Ce récit est applicable sur notre patrimoine colonial. En effet, il est temps de se soucier du devenir du patrimoine bâti dont nous avons la charge et qui véhicule des valeurs historiques, culturelles et sociales inestimables. Telles que l’on ne doit plus sacrifier. La présente réflexion à été motivée par une certaine inquiétude ressentie quant au devenir de notre patrimoine et ses caractéristiques. Elle porte sur l’inscription dans le temps attendu de cet axe principale (RN79) de ville de Mila, et sur la forme qui correspond à ses usages ; son rôle social, culturel et particulièrement urbain. La nécessité d’intervention se faisait sentir, et on pouvait observer dès les années 70, une multitude d’interventions et d’opérations entreprises, en vue d’améliorer la qualité de vie urbaine dans ces cités. Contestées, remises en cause et rejetées par leur habitants, ces grandes unités d’habitation ont été souvent associées à des opérations de réhabilitation, de redynamisation, de rénovation, de restructuration, d’intégration et enfin de stratégies de renouvellement urbain, portées par une politique de Projet Urbain. MILA a vécu un développement spectaculaire et un essor considérable se traduisant physiquement par une transformation radicale du tissu urbain, qui se trouve envahit par une forte urbanisation concrétisé par une dynamique urbaine conséquente ; et par une mutation économique dans le secteur d’activités. « Bien que des problèmes humains qui peuvent être résolus avec le temps sont rigoureusement insolubles lorsqu’on ne dispose pas d’un délai convenable et des moyens adéquats pour y faire face » Albert Guichard. Ce récit est applicable sur notre patrimoine colonial. En effet, il est temps de se soucier du devenir du patrimoine bâti dont nous avons la charge et qui véhicule des valeurs historiques, culturelles et sociales inestimables. Telles que l’on ne doit plus sacrifier. La présente réflexion à été motivée par une certaine inquiétude ressentie quant au devenir de notre patrimoine et ses caractéristiques. Elle porte sur l’inscription dans le temps attendu de cet axe principale (RN79) de ville de Mila, et sur la forme qui correspond à ses usages ; son rôle social, culturel et particulièrement urbain. 1 |
URI/URL: | http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/2702 |
Collection(s) : | Mémoires de Master |
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