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Titre: Identification et profil d’antibiorésistance des bactéries à Gram négatif
Autre(s) titre(s): Et étude de l’effet antibactérien de l’huile essentielle de Salvia officinalis sur quelques souches isolées
Auteur(s): Lakroun, Imane
Harek, Hanene
koulla, Hafsa
Mots-clés: Activité antibactérienne
Bactéries Gram négatif
Huile essentielle
Salvia officinalis
Date de publication: sep-2023
Résumé: L'objectif de notre travail est de mettre en évidence l'activité antibactérienne de l'huile essentielle (HE) de Salvia officinalis sur les bactéries Gram négatif responsables des infections urinaires et purulentes au niveau de l’hôpital de Faubourg de Blida. Sur l'ensemble de 501 échantillons d'urine analysés, 78 cas d'ECBU étaient positifs traduisant une infection urinaire avec un taux de 15.5%. 71 souches bactériennes Gram négatif ont été isolées des ECBU. Les résultats des prélèvements urinaires montrent une prédominance des entérobactéries dont 45 souches appartenant à Escherichia coli, 16 souches à Klebsiella pneumoniae, 4 souches à Proteus mirabilis, 2 souches pour chacun d’Enterobacter cloacae et Pseudomonas aeruginosa et 1 souche de Salmonella spp et Serratia marcescens. Parmi les 66 prélèvements purulents, 44 se sont avéré positif avec un taux de 77.8%. L'épidémiologie des infections purulentes est dominée par les entérobactéries. Les espèces les plus isolées étaient Klebsiella pneumoniae (10 souches), Escherichia coli (8 souches) Pseudomonas aeruginosa (7 souches) et Proteus mirabilis (5 souches). L’extraction de l’HE de la sauge nous a permis d’obtenir une HE avec un rendement de 0.5% et la caractérisation de cette huile par CG/SM indique que les composants majoritaires sont le beta thujone (23.3%), le 1,8 cinéol (16.01%) et le camphore (15.45%). L’huile essentielle de Salvia officinalis possède une activité antibactérienne importante vis-à-vis la majorité des bactéries Gram négatif testées dont le diamètre des zones d’inhibition oscille entre 7 et 30 mm. Les souches Acinetobacter baumannii, Salmonella sp, Proteus mirabilis, et E. coli étaient les plus sensibles alors que les souches de Pseudomonas aeruginosa et Serratia marcescens se sont révélés résistantes vis-à-vis l’HE de la sauge. Les concentrations minimales inhibitrices obtenues varient de 0.125 à 2 % pour les bactéries testées
Description: Ill. ;tabl. ;dvd ;70 p.
URI/URL: https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/29581
Collection(s) :Mémoires de Master

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