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Titre: Giardiase humaine à Blida, prévalence, facteurs de risque et moyen de lutte
Auteur(s): BEKHTI, Nadjia Loubna
BOUKLACHI, Zina
Mots-clés: Parasites digestifs, Giardia, Epidémiologie, Enfants et adulte, Blida.
Date de publication: sep-2020
Résumé: Les parasitoses intestinales causent un sérieux problème au niveau de la santé publique, ainsi que la giardiose, c’est une maladie cosmopolite, retrouvée notamment dans les zones tropicales. Notre objectif dans cette investigation est de faire une comparaison entre l'étude rétrospective d'un an, allant de janvier 2019 à janvier 2020, et l'étude prospective de janvier 2020 à juin 2020, basée sur la prévalence de giardia selon plusieurs paramètres, aussi connaître la relation entre la présence de giardia et la fluctuation des GB et GR, ainsi qu’explorer les facteurs de risque, cela s'est interrompue en raison de la pandémie de coronavirus, conséquemment on à effectuer exclusivement l’étude rétrospective en se basant sur l’estimation de la prévalence de la giardiose selon l’âge, le sexe et les signes cliniques. La coproparasitologie est le meilleur moyen de détection des parasites intestinaux, où on reçoit les échantillons des selles dans des boites propres à fermeture hermétique D’après les 849 échantillons analysés, 84 étaient positifs aux différents parasites intestinaux, dont Giardia intestinalis faisait partie avec une proportion de 11 et une prévalence de 13.09%. Les autres parasites sont représentés par u taux de 86.90%. La maladie ne peut pas être prédite en fonction du sexe et les signes cliniques, car on ne note pas une différence marquante entre la prévalence des deux sexes avec un sexe ratio de 1.75, combien même les symptômes triomphants dont les douleurs abdominales et les diarrhées ne sont pas spécifique à la giardiose, où ils peuvent dominer d’autres symptômes des protozoose intestinales. En ce qui concerne la prévalence de la maladie selon l’âge, on a déduit que les enfants sont les plus touchés par la Giarida intestinalis avec une prévalence de 82%, contrairement chez les adultes où leur prévalence est estimée par 18% en raison de la négligence des enfants aux mesures d’hygiène. On conclut de cette recherche qu’il y’a une relation inverse entre le niveau d’hygiène et la dissémination de la maladie ; plus l’hygiène est faible plus la maladie se propage. Pour diminuer la prévalence, vaut mieux travailler sur l’amélioration de système sanitaire.
Description: 31 p. ; ill. ; 30 cm. ;+cd-rom
URI/URL: http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/7846
Collection(s) :Mémoires de Master

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