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dc.contributor.authorHAMANA, MERIEM-
dc.contributor.authorAbdelli, A. Promoteur-
dc.date.accessioned2021-03-30T07:30:50Z-
dc.date.available2021-03-30T07:30:50Z-
dc.date.issued2015-
dc.identifier.urihttp://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/10930-
dc.descriptionLA COTE: 1036THV; 38p.; ill.; tabl.fr_FR
dc.description.abstractL'alimentation de la vache laitière et en particulier la vache dite haute productrice a été abordée largement dans les dernières décennies. Malgré ça, elle reste encore un défi non seulement pour les éleveurs mais aussi pour les chercheurs. Car, la sélection génétique est consacrée totalement à la production laitière au détriment des autres aspects comme la santé. Par conséquent, c'est illusoire de satisfaire les exigences liées à la production au cours des premiers mois de lactation. Un bilan énergétique négatif s'installe en cette période. Un bilan énergétique trop fortement négatif en début de lactation. principalement durant les six à huit semaines suivant le vêlage va conduire à l'apparition de la cétose. Cliniquement, on distingue deux formes de la cétose, clinique et subclinique. Cette dernière est plus dangereuse, car elle est en général non détectée par l'éleveur. L'importance médicale et économique surtout de cette pathologie nous amène à établir un diagnostic précoce et fiable afin d'établir un traitement approprié.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUNIV. BLIDA1fr_FR
dc.subjectla vachefr_FR
dc.titleLa cétose chez la vache laitière : Etude bibliographiquefr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires

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