Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/11088
Affichage complet
Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorFatima, BENMOHAMED-
dc.contributor.authorAnissa, MEROUANI-
dc.contributor.authorSELLALI, S. Promotrice-
dc.date.accessioned2021-04-05T08:34:14Z-
dc.date.available2021-04-05T08:34:14Z-
dc.date.issued2015-07-
dc.identifier.urihttp://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/11088-
dc.descriptionLA COTE: 1082THV; 48p.; ill.; tabl.fr_FR
dc.description.abstractDans le but de décrire le dernier épisode de la fièvre aphteuse en Algérie et déterminer son étendue, nous avons mené une étude rétrospective sur les foyers apparus au cours des années 2014 et 2015. Pour ce faire, nous nous sommes référés aux rapports de notification officiels établis par le Ministère de l'Agriculture et du Développement Rural à l'attention de l’OIE. Au total, 419 foyers ont été déclarés dans la région nord de l'Algérie durant l'année 2014, suite à l'introduction frauduleuse des animaux infectés de la Tunisie. Seule l'espèce bovine a été touchée contrairement à l'épisode de 1999. La fièvre aphteuse a été rapportée, en premier, dans la wilaya de Sétif, qui a compté seule 92 foyers, et a essaimé à partir de là ; d'abord vers les wilayas les plus proches (Constantine, Bejaïa, Bouira, Bordj Bou Arreridj) puis de loin en loin (Ain Defla, Biskra, Chlef, etc.). La propagation de cette épizootie s'est faite à une grande vitesse. Elle s'est étendue depuis Souk Ahras, à l'extrême est, jusqu'à Oran, à l'extrême ouest, en deux mois. Cela serait dû en partie aux éleveurs qui ne déclarent pas systématiquement les foyers découverts par crainte de devoir éliminer une partie voire la totalité de leurs cheptels. L'abattage des animaux sensibles était pratiqué depuis l'apparition des premiers foyers en vue d'empêcher la propagation de la fièvre aphteuse. La mortalité engendrée était faible (1,5%), mais nous avons assisté en parallèle à une diminution de la productivité et de la valeur économique des animaux ainsi que la demande et la consommation des viandes bovines. A cela s'ajoute le coût des mesures de lutte appliquées, surtout l'abattage et la vaccination. . Après la clôture officielle de l'évènement épizootique en octobre 2014, neuf nouveaux foyers ont été signalés l'année d'après à El Oued et El Bayadh, où la maladie était rapportée chez les ovins pour la première fois depuis le début de l'épizootie. Ainsi, les petits ruminants ont fait l'objet d'une vaccination anti-aphteuse pour la première fois (1500 caprins et 2500 ovins). Uvea La vulnérabilité était maximale en Algérie du fait de son statut indemne antérieur. L'ampleur qu'a prise la maladie engage fortement l'efficacité des stratégies de lutte en Algérie, ainsi que les mesures préventives permanentes et les systèmes de surveillance à l'égard de telle maladie. Enfin, pour réduire la circulation du virus de la fièvre aphteuse et le risque qu'il soit introduit en Algérie, il semble indispensable d'agir sur les pays "réservoirs", où la maladie est souvent enzootique comme les pays de l'Afrique centrale.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUNIV. BLIDA1fr_FR
dc.subjectfièvre aphteusefr_FR
dc.subjectépizootiefr_FR
dc.subjectfoyerfr_FR
dc.subjectmesures de luttefr_FR
dc.subjectAlgériefr_FR
dc.titleETUDE DESCRIPTIVE DE LA FIEVRE APHTEUSE EN ALGERIE : LE POINT SUR L'EPISODE EPIZOOTIQUE DE L'ANNEE 2014fr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires

Fichier(s) constituant ce document :
Fichier Description TailleFormat 
1082THV.pdfVétérinaire20,52 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir


Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.