Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/11791
Affichage complet
Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorKhaled, Hamza-
dc.date.accessioned2021-06-23T13:13:29Z-
dc.date.available2021-06-23T13:13:29Z-
dc.date.issued2018-
dc.identifier.citationBlidafr_FR
dc.identifier.urihttp://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/11791-
dc.descriptionBibliogr. ill. +218 p.fr_FR
dc.description.abstractLa fièvre Q est une maladie à répartition mondiale causée par Coxiella burnetii, bactérie à multiplication intracellulaire obligatoire, qui se transmet essentiellement par voie respiratoire, causant chez les ruminants des troubles de la reproduction accompagnés d’élimination de bactéries dans le milieu extérieur. Les pertes directes et indirectes liées à cette pathologie sont considérables puisqu’il s’agit aussi d’une zoonose professionnelle observée principalement en région rurale. En Algérie, la situation épidémiologique est caractérisée par un manque flagrant d’informations. Notre travail a donc pour objectif essentiel la détermination des statuts sérologiques et excréteurs des cheptels de petits ruminants vis-à-vis de la fièvre Q et un génotypage des souches circulantes. Une enquête relative aux avortements a été menée dans 105 exploitations agricoles et 35 cheptels ont fait l’objet de prélèvements. Un total de 227 sérums et de 267 écouvillons vaginaux ont été collectés. Deux techniques de diagnostic ont été utilisées, l’ELISA indirecte pour la recherche des anticorps spécifiques anti C. burnetii dans les sérums et la PCR quantitative (PCRq) pour la détection de l’ADN bactérien au niveau des écouvillons par amplification du gène IS1111. La technique MLVA a été choisie pour le typage moléculaire avec l’usage de 17 VNTR. L’isolement sur cellules SFT a été réalisé. L’enquête sur le terrain a montré un manque de mesures d’hygiène en relation avec les avortements. Par la technique ELISA, les résultats obtenus ont enregistré 32 cas positifs (14,1 %) répartis sur 17 cheptels (58,6%), ce qui prouve le contact entre la bactérie et les animaux testés. Par la technique PCRq, sur le nombre total des échantillons, nous avons obtenu 57 cas positifs (taux de 21,3%) dans 21 cheptels (60%), ce qui confirme l’excrétion bactérienne par voie vaginale après avortements ou mise-bas normales, dont 11 cas (taux de 6,8%) confirment l’implication de C. burnetii dans l’étiologie abortive chez les ovins. Le génotypage a permis la caractérisation de 11 souches d’origine ovine qui appartiennent à 3 clusters différents. Une biodiversité des souches a été constatée avec l’observation de 11 nouveaux profils génétiques. En plus, une certaine apparentée 3 génétique a été constatée avec les souches des pays voisins (TUNISIE et MAROC) et étrangers (FRANCE et ETATS-UNIS D’AMERIQUE). Les taux enregistrés soulèvent un problème potentiel d’existence de la fièvre Q au sein de nos cheptels pouvant engendrer un risque sur la santé publique. De ce fait, élargir le spectre d’étude de la maladie à d’autres régions du pays et approfondir les recherches en matière de diagnostic avec des outils récents et fiables semble une nécessité absolue.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisheruniv-blida1fr_FR
dc.subjectELISAfr_FR
dc.subjectPetits ruminantsfr_FR
dc.titleEtude sérologique et moléculaire de Coxiella burnetii agent de la fièvre Q chez les petits ruminants dans certaines d’Algériefr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Thèse de Doctorat

Fichier(s) constituant ce document :
Fichier Description TailleFormat 
32-630-392-1.pdfThèse de Doctorat3,53 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir


Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.