Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/11979
Titre: Comparaison entre deux souches de lapins de chair INRA (1029-1077) sur la fertilité, la prolificité et ses composantes biologiques
Auteur(s): Zerrouki née Daoud, Nacera
Date de publication: 1998
Editeur: univ.blida 1
Référence bibliographique: Blida
Résumé: Une étude comparative entre deux souches de lapins de chair INRA 1029. souche maintenue en population fermée sans sélection et la souche INRA 1077, sélectionnée sur la taille de portée au sevrage, a été réalisée à la station d'amélioration génétique des animaux (INRA) de Toulouse. Les femelles sont conduites en insémination artificielle, avec un rythme semi intensif (intervalle mise bas - saillie est égal à 10 jours). Une endoscopie a été effectuée 10 jours après insémination afin de compter les corps jaunes sur les deux ovaires et les embryons dans les deux cornes utérines. Les caractères analysés sont la réceptivité, la fertilité, la prolificité et ses composantes, ainsi que le poids des femelles à l'insémination. Les femelles 1029 enregistrent des taux de fertilité et de mise bas inférieurs aux taux calculés chez les femelles 1077. L'analyse de la prolificité et ses composantes révèle des écarts très significatifs entre les deux souches (2,21 corps jaunes totaux et 1,17 embryons totaux, p<0,001). Les taux de survie embryonnaire, foetale et prénatale sont en moyenne plus élevés chez la souche 1029, aboutissant à des tailles de portée à la naissance comparables entre les deux types génétiques (les écarts sont de 0,51 nés vivants et 0,71 nés totaux). Les mâles 1029 et 1077 permettent des taux de fertilité et de mises bas comparables. Par contre le croisement des femelles 1029 avec des mâles 1077 et des femelles 1077 avec des mâles 1029 entraîne une chute des performances de reproduction. La taille de portée et ses composantes est de même niveau pour les quatre types génétiques 1029* 1029, 1029* 1077, 1077*1029 et 1077* 1077. Les mâles n'influencent pas la prolificité des femelles. L'état physiologique des femelles qui est une interaction entre la réceptivité et l'état d'allaitement, montre un effet très significatif sur la fertilité et les mises bas. Les femelles non réceptives allaitantes enregistrent les taux de fertilité et de limes bas les plus faibles (22.61% et 18,58%). La prolificité et ses composantes est de même niveau pour les quatre groupes de femelles. Les taux de réceptivité, de fertilité et de mises bas diminuent avec le numéro d'insémination. Les femelles nullipares sont plus réceptives et enregistrent les taux de fertilité et de mises bas les plus élevés par rapport aux multipares et primipares. Par contre, la prolificité et ses composants augmentent avec le numéro de portée. Les multipares ovulent plus et implantes un nombre d'embryons plus élevé que les multipares. Elles enregistrent des effectifs en nés vivants et nés totaux supérieurs. Des corrélations positives sont déterminées entre la taille de portée à la naissance et les composantes de la prolificité. Des coefficients négatifs sont calculés entre le taux de suivie prénatale et le nombre d'embryons, les taux de survies embryonnaire et fœtale (-0,18, -0,15 et - 0,10). Le poids des femelles à l'insémination est de même niveau pour les deux types génétiques. Le poids adulte est atteint vers la troisième-quatrième insémination.
Description: Bibliogr. ill.
URI/URL: http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/11979
Collection(s) :Thèse de Magister

Fichier(s) constituant ce document :
Fichier Description TailleFormat 
32-630-463-1.pdfThèse de Magister51,26 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir


Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.