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dc.contributor.authorABDOUNI, Khouloud-
dc.contributor.authorBEHLOULI, Khadidja-
dc.contributor.authorBENDIFALLAH, Somia-
dc.contributor.authorBOUGUERNI, Yasmina-
dc.contributor.authorCHEIKH, Hayet-
dc.contributor.authorMOSTEFAOUI, Asmaa-
dc.contributor.authorHIRACHE, K.(promoteur)-
dc.date.accessioned2022-02-27T10:45:53Z-
dc.date.available2022-02-27T10:45:53Z-
dc.date.issued2020-
dc.identifier.urihttp://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/14370-
dc.descriptionMDEN 218fr_FR
dc.description.abstractL’implantologie de nos jours est devenue un geste de quotidien. Cependant, un volume osseux insuffisant va absolument nous orienter vers des matériaux de substitution dont l’os autologue reste le gold standard. Le problème se pose autour de l’origine de ses matériaux, leurs efficacités, sureté et à quel point on peut faire confiance à ces derniers surtout ceux d’origine animal. Avec ce doute qui règne autour de ces biomatériaux nous devrons réfléchir et poser des questions à propos de la provenance des substituts osseux xénogéniques et penser à mieux contrôler et même à trouver d’autre alternative plus sécurisé. Dans le but d’éclaircir les connaissances concernant les différents types de greffons, nous avons consulté plusieurs revues de littérature et des articles également pour collecter le maximum d’information et répondre à nos questions. Pour savoir si d’autres que nous s’étaient posé les même questions. Le recourt à la greffe osseuse autogène nous permet d’éviter les risques provenant des xénogreffes, et d’éliminer carrément le doute. La recherche s’est donc tournée vers différentes alternatives dont les allogreffes osseuses, que les études récentes montrent des doutes à propos de leur activité protéinique, les xénogreffes et leur risque lié à la maladie de la vache folle. Il faut donc poursuivre les études sur les biomatériaux de substitution osseuse, surtout celle d’origine animale, pour avoir la certitude qu’ils seront sécurisés car le monde aujourd’hui n’a pas besoin d’une autre zoonose survenue au hasard ou par accident de fabrication, parce que cela peut déclencher un problème de santé, alors que nous n’avons pas encore achevé notre combat contre le covide-19. Chercher à inventer des substituts osseux d’origine animal est très créatif mais les scientifiques doivent être plus prudents, nous devrons penser à minimiser leur utilisation ou de les remplacer par d’autres produits. Sachant que la greffe osseuse autogène peut remplir nos besoins à reconstruire les pertes de substance osseuse, la collaboration entre chirurgiens-dentistes et maxillo-faciales nous donne cette opportunité d’avoir la quantité et la qualité recherchées.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisheruniv. blida1fr_FR
dc.subjectChirurgie Pré-Implantairefr_FR
dc.subjectGreffons Osseuxfr_FR
dc.titleChirurgie Pré-Implantaire : Les Différents Greffons Osseux The Pre-Implant Surgery : The Different Bone Graftsfr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires

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