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dc.contributor.authorBENAZIZA, IHSSEN-
dc.contributor.authorREBIA, FAIZA-
dc.date.accessioned2022-04-10T10:35:10Z-
dc.date.available2022-04-10T10:35:10Z-
dc.date.issued2021-
dc.identifier.urihttp://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/15282-
dc.description.abstractLe secteur du bâtiment est actuellement l’un des plus importants consommateurs d’énergie. En effet, à l’échelle mondiale, les bâtiments sont responsables de 40% de la consommation annuelle d’énergie, et jusqu’à 50% si l’on inclut la consommation énergétique lors de la construction. Le coût que cela provoque, la part des émissions de gaz à effet de serre, qui sont à l’origine du réchauffement climatique, liée à la consommation énergétique des bâtiments est évaluée à 30%, alors qu'au même temps, la demande d'énergie devrait doubler à horizon 2050 (selon PNUE). Donc il nous faut trouver des solutions pérennes à court terme pour le bien-être de la planète et des générations futures. Il faut penser à une architecture respectueuse de l’environnement qui, se présentant comme une ambition pour notre nouveau siècle, s’avérerait être une alternative urgente au centre d’une (re)prise de conscience environnementale, qui animait jadis nos ancêtres ; une conscience qui était la référence et le support d’une architecture ancienne dite vernaculaire (l’architecture K’sourienne), Elle est le fruit d’un long processus d’adaptation et de traditions transmises de génération en génération. En effet la richesse du passé nous rappelle combien il est important de mettre en exergue les repères d’une identité historique qui sera source d’une nouvelle inspiration. Un nouveau catalogue s'ouvre alors sur le 21e siècle établi sur la tendance régénérative qui est incarnée par la certification « living building challenge » (LBC) le plus exigeant label au monde. Pour cela, nous proposons de faire de notre projet un bâtiment régénératif qui va au-delà du développement durable, cette démarche représente un modèle de cycle fermé où le résultat est toujours amélioré par rapport à l’entrée de son cycle de vie. Dans le cadre de notre projet qui consiste en la conception d’un palais des congres situé dans la ville nouvelle d’El Ménéaa (zone aride), nous avons vérifié la pertinence de cette démarche qui nous a permis au final de confirmer que le bâtiment régénératif et la certification LBC participe à assurer le confort intérieur et extérieur et minimiser les impacts des bâtiments sur l’environnement.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUniversité Blida1, Institut d'Architecture et de l'Urbanismefr_FR
dc.relation.ispartofseries;4.720.1767-
dc.subjectdéveloppement durablefr_FR
dc.subjectArchitecture k’souriennefr_FR
dc.subjectbâtiment régénératiffr_FR
dc.subjectcertification living building challengefr_FR
dc.subjectpalais des congresfr_FR
dc.subjectzone aridefr_FR
dc.subjectville nouvelle d'El Ménéaafr_FR
dc.title« La durabilité : de l’architecture k’sourienne au bâtiment régénératif » Conception d'un Palais des congrès dans la Ville nouvelle d’El Ménéaa.fr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires de Master

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