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dc.contributor.authorMezoued, E.S.-
dc.contributor.authorOtmanetelba, C.-
dc.contributor.authorBezari, A.-
dc.contributor.authorZaabat, N.-
dc.contributor.authorMetatla, S.-
dc.contributor.authorDjaafri, S.-
dc.contributor.authorHouhat, N.-
dc.contributor.authorAttal, N.-
dc.contributor.authorSalah, S.-
dc.contributor.authorBencharif, M.A.-
dc.contributor.authorTamouza, R.-
dc.date.accessioned2022-05-25T19:30:38Z-
dc.date.available2022-05-25T19:30:38Z-
dc.date.issued2020-10-
dc.identifier.issn2716-8190-
dc.identifier.urihttps://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/16411-
dc.description.abstractPatients su ering from schizophrenia are on the front line of pathological pathways when they represent only 3.6 to 10% of homicide perpetrators, possibly due to the stigma of the dangerousness of mental disorders. Beyond the classic clinical reading, psychiatry has recently been enriched with an immuno-biological component at the origin of new physiopathological concepts. In this context, the link between inflammation and schizophrenia is now demonstrated by the description of dysfunctions a ecting all stages of immune responses. We were interested in the potential links between the "dangerousness" nature of the active schizophrenic and their inflammatory and autoimmune status. METHODOLOGY 44 schizophrenics perpetrators of intentional homicides were included according to the DSM IVR criteria and assessed with the PANSS, dangerousness (HCR 20), and insight (Q8) scales at the level of the forensic psychiatry service of the 'EHS Frantz Fanon de Blida. Immuno-inflammatory status (CRP), anti-nuclear autoantibody (ANA), anti-phospholipids (ACL and, B2gpI) and specific autoantibodies of the digestive barrier (AGA, tTG, DPG) were determined at the level of the department. of immunology from the Pasteur Institute of Algiers and the Mustapha University Hospital of Algiers. RESULTS The mean age of the patients was 41 years. In 71% of cases, impulsiveness was found as a character trait as well as previous violent physical and verbal behavior. Addiction is present in 84% of cases and 7% are taken into account under the influence of the poison. 94% of patients had a paranoid form with a duration of untreated psychosis greater than 12 months in 66% of cases. Immunologically 35.7% of patients had elevated CRP levels (> 5 mg / l), 14% of autoantibodies typical of celiac disease (AGA, tTG, DPG), 18% of antibodies anti-phospholipids (ACL, B2gp1) and 14% of anti-nucleus antibodies. The 18 patients with autoantibodies show overall higher PANS scores with a maximum in the presence of 3 autoantibodies. These patients also show a very poor response to treatment. CONCLUSION In this preliminary work, we show that a significant proportion of SZ homicidal patients present with an inflammatory and / or autoimmune type immune abnormality. In addition, the specificities of auto-Ab make it possible to evoke the involvement of the microbiota and / or the endothelial cell, two targets associated with SZ. We do not find any correlation with dangerousness acting out, probably due to the small number studied. The extension to a larger cohort and the integration of the evaluation of other biological parameters could make it possible to better define the clinical-biological contours of the passage to the act and to understand the physiopathological bases.Resumé :Les patients sou rant de schizophrénie se trouvent en première ligne des passages à l’acte pathologique alors qu’ils ne représentent que 3.6 à 10 % des auteurs d’homicides, possiblement en raison de la stigmatisation de la dangerosité des troubles mentaux. Au-delà de la lecture clinique classique, la psychiatrie s’est récemment enrichie d’une composante immuno-biologique à l’origine de nouveaux concepts physiopathologiques. Dans ce contexte, le lien entre inflammation et schizophrénie est maintenant démontré par la description de dysfonctionnements a ectant toutes les étapes des réponses immunitaires. Nous nous sommes intéressés aux liens potentiels entre le caractère de « dangerosité » du schizophrène passant à l’acte et son statut inflammatoire et auto-immun. MÉTHODOLOGIE 44 schizophrènes auteurs d’homicides volontaires ont été inclus selon les critères du DSM IVR et évalués avec des échelles de PANSS, de dangerosité (HCR 20), et d’insight (Q8) au niveau service de psychiatrie médico-légal de l’EHS Frantz Fanon de Blida. Les statuts immuno-inflammatoires (CRP), auto-anticorps anti-nucléaires (AAN), anti-phospholipides (ACL et, B2gpI) et auto-anticorpsspécifiques de la barrière digestive (AGA,tTG,DPG) ont été déterminés au niveau du département d’immunologie de l’institut pasteur d’Alger et du CHU Mustapha d’Alger. RÉSULTATS L’âge moyen des patients était de 41 ans. Dans 71% des cas on a retrouvé l’impulsivité comme trait de caractère ainsi que des comportements violents physiques et verbaux antérieurs. L‘addiction est présente dans 84% des cas et 7% sont passés à l’acte sous l’e et de toxique. 94% des patients avaient une forme paranoïde avec une durée de psychose non traitée supérieure à 12 mois dans 66% des cas. Sur le plan immunologique 35,7% des patients avaient des taux de CRP élevés (> 5 mg/l), 14% des auto-anticorps typiques de la maladie cœliaque (AGA,tTG,DPG),18% des anticorps anti-phospholipide s(ACL,B2gp1) et 14% des d’anticorps anti-noyaux. Les 18 patients ayant des auto-anticorps présentent des scores de PANS globalement plus élevés avec un maximum en présence de 3 auto-anticorps. Ces patients présentent aussi une très mauvaise réponse aux traitements. CONCLUSION Dans ce travail préliminaire, nous montrons qu’une proportion importante de patients SZ auteurs d’homicide présente une anomalie immunitaire de type inflammatoire et/ou auto-immune. De plus les spécificités des auto-Ac permettent d’évoquer l’implication du microbiote et/ou de la cellule endothéliale, deux cibles associées à la SZ. Nous ne retrouvons pas de corrélation avec la dangerosité/passage à l’acte, probablement en raison du petit e ectif étudié. L’extension à une cohorte plus importante et l’intégration de l’évaluation d’autres paramètres biologiques pourraient permettre de mieux cerner les contours clinico-biologiques du passage à l’acte et d’en comprendre les bases physiopathologiques.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherFaculte de Medecine, Universite Blida 1fr_FR
dc.subjectSchizophrenia, dangerousness, intentional homicide, impulsivity, inflammation, autoimmunity, microbiota.fr_FR
dc.titleDangerosity in schizophrenia, what clinico-immunological aspects?fr_FR
dc.title.alternativeDangerosite dans la schizophrenie, quels aspects clinico-immunologiques ?fr_FR
dc.typeArticlefr_FR
Collection(s) :revue

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