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dc.contributor.authorKhider, Ilhem-
dc.contributor.authorLamri, Razika-
dc.date.accessioned2023-02-26T12:43:08Z-
dc.date.available2023-02-26T12:43:08Z-
dc.date.issued2022-09-
dc.identifier.urihttps://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/21489-
dc.descriptionIll. ;tabl. ;dvd ;54 p.fr_FR
dc.description.abstractLe syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) ou la dystrophie ovarienne est la plus fréquente des affections endocriniennes chez la femme en âge de procréer et constitue la première cause d’infertilité féminine. Il est défini par la présence chez les patientes d’au moins 2 des 3 critères de Rotterdam : oligo-ovulation ou anovulation, ovaires polykystiques à l’échographie, et hyperandrogénie biologique et/ou clinique. Il est responsable de nombreuses complications à court et long terme, notamment des complications métaboliques et gynéco-obstétricales. Cette étude a pour objectif d’étudier la prévalence du SOPK dans un échantillon de femmes de la région de Blida et de déterminer les facteurs responsables de l’émergence de cette maladie. Ce travail est une étude prospective réalisée dans la période entre Mars et Juin 2022, et a portée sur Trois cent (300) femmes ayant consulté pour des problèmes d’infertilité au niveau du service de gynécologie-obstétrique à l’hôpital Hassiba Ben Bouali de Blida, 30 femmes entre elles ont été diagnostiquées avec un SOPK, ainsi que 14 femmes ont été recrutées au niveau de certains cabinets de gynécologie privés de la ville de Blida. Les résultats ont montré que : - La prévalence du SOPK est de 10%, avec une prédominance chez les jeunes femmes entre 20 et 30 ans (p=0,003). Le principal motif de consultation de ces femmes était une infertilité. - Il y avait une incidence significative chez les femmes présentant un IMC>25 (p=0,036). - La présence des signes d’hyperandrogénie a été constatée chez la moitié des patientes, tandis que 70%des patientes avaient des cycles irréguliers. - Il y avait un déséquilibre hormonal entre les hormones mâle et femelle. Nous avons constaté une élévation significative des concentrations de LH et des androgènes (testostérone et l’hormone antimüllérienne) chez les patientes (p<0,01). En conclusion, le SOPK est une pathologie complexe et multifactorielle. Cette complexité est liée à son hétérogénéité phénotypique. En outre, l’augmentation des concentrations sériques de l’hormone antimüllérienne, non incluse dans les critères de diagnostic du SOPK, pourrait ouvrir une nouvelle approche dans le diagnostic et la prévention de ce syndromefr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.subjectPrévalencefr_FR
dc.subjectOvairefr_FR
dc.subjectSOPKfr_FR
dc.subjectInfertilitéfr_FR
dc.subjectHyperandrogéniefr_FR
dc.subjectHormone antimüllériennefr_FR
dc.titlePrévalence et causes des ovaires poly-Kystiques ches des patientes de la région de Blidafr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires de Master

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