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dc.contributor.authorMiraoui, Céline-
dc.contributor.authorAkli, Kamélia-
dc.date.accessioned2023-02-27T07:51:49Z-
dc.date.available2023-02-27T07:51:49Z-
dc.date.issued2022-09-
dc.identifier.urihttps://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/21530-
dc.descriptionIll. ;tabl. ;70 cm ;cd-rom ;60 p.fr_FR
dc.description.abstractLa résistance aux différentes classes d’antibiotiques est devenue un problème de santé mondial. La prescription anarchique de ceux-ci et sans connaitre la posologie exacte favorisent davantage l’essor de cette résistance. Ainsi, le but de cette étude est de faire d’une part un constat sur les résistances aux antibiotiques dans les infections urinaires et d’autre part mettre en place un test qui pourra relativement remplacer le E-test pour la mesure de la concentration minimale inhibitrice (CMI) pour une posologie plus précise de l’antibiotique. Nous avons, dans une première partie du travail, étudié 250 antibiogrammes positifs de patients ayant des infections urinaires. Ensuite nous avons, pour une deuxième partie, confectionné deux bandelettes, une cloisonnée et une autre à spots pour la mesure de la CMI. Les deux bandelettes ont été testées, sur des souches de référence (Escherichia coli ATCC 25922 et Pseudomonas aeruginosa ATCC 27853), et sur des souches de patients ayant une infection urinaire, repiquées à partir de boites d’antibiogrammes. Les résultats des souches de référence sont validés une première fois par vérification des valeurs enregistrées dans le tableau des valeurs limites des concentrations minimales inhibitrices pour les souches de références retiré du livre de Standardisation des tests de sensibilité aux antibiotiques à l’échelle national, 8éme édition, Avril 2020. Puis une deuxième fois, accompagnés de ceux du test des souches de patients, par la méthode de référence pour la mesure de la CMI qui est celle de dilution sur milieu gélosé. Nous avons constaté une prédominance des entérobactéries (80.4%) suivies de Pseudomonas spp (6.80%), Enterococcus spp (6.80%), Staphylococcus spp (4.80%) et au final de Streptococcus spp (1.2%). La fréquence de résistance la plus élevés a été observé dans ce groupe pour les antibiotiques suivant : l’ampicilline (76.62%) et l’amoxicilline (67.62%). Nous avons observé également 100% de sensibilité des souches des entérobactéries envers l’imipenème. Pour la mesure de CMI, la bandelette a spots donne des résultats plus proches de la méthode de dilution sur milieu gélosé comparée la bandelette cloisonnée. Réalisant la montée fulgurante de la résistance aux antibiotiques dans les infections urinaires, la mesure de la CMI s’impose pour une prescription précise et efficace des antibiotiques. Notre bandelette peut être une alternative intéressante au E-test, offrant aux laboratoires d’analyses xiv médicales un outil accessible financièrement et fiable techniquement sous réserve de confirmer ces résultats ultérieurement.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.subjectInfections urinairesfr_FR
dc.subjectRésistance aux antibiotiquesfr_FR
dc.subjectCMIfr_FR
dc.subjectE-testfr_FR
dc.titleEtude de la résistance bactérienne chez des patients ayant des infections urinaires et mesure de la Concentration Minimale Inhibitrice (CMI) par une adaptation au E-testfr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires de Master

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