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dc.contributor.authorChikhi, Nour El Houda-
dc.date.accessioned2023-11-15T07:08:30Z-
dc.date.available2023-11-15T07:08:30Z-
dc.date.issued2023-
dc.identifier.urihttps://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/26475-
dc.description4.540.1.1171.p83fr_FR
dc.description.abstractL’objectif de ce travail était la maitrise de la multiplication des champignons mycorhiziens arbusculaires (CMA), et la production d’un biofertilisant à base de ces champignons. Le premier essai de multiplication des CMA de deux inocula I1 et I2 produits à l’Université Blida 1 dans le cadre du projet de coopération Algéro-Canadienne, sur deux espèces de plantes-hôtes avait échoué. Une deuxième tentative, où nous avons testé l’effet de trois proportions de compost (0 ,5 et 10%), a été lancé. La multiplication de CMA de I2 a encore échoué. Pour I1, Les fréquences de mycorhizations maximales étaient de 85.55 % pour le substrat sans compost, 72.22 % pour 5 % de compost et 46.89 % avec 10 % de compost. L’intensité de colonisation du système racinaire M % était faible, 24.52% pour le substrat sans compost, 16.06 % pour 5 % de compost et 8.05 % pour 10 % de compost. De faibles teneurs arbusculaires A% ont été notées, 11.19 % pour le substrat sans compost, 7.57 % pour 5 % de compost et 3.71 % pour 10 % de compost. Ces résultats montrent que l’utilisation de compost ne favorise pas la multiplication des CMA. Pour la production d’un biofertilisant à base de CMA, l’inoculum primaire utilisé est constitué de sol rhizosphérique et de fragments racinaire de Lavandula stoechas récolté dans la Forêt de Oued Djer El’Affroun. L’évaluation de l’état de mycorhization de L. stoechas, montre que le système racinaire est bien mycorhizé (F% = 89 %), l’intensité de la colonisation du cortex racinaireété importante (M% = 55 %) où les arbuscules représentent 45 %. La densité sporale du sol rhizosphérique de L. stoechas est d’environ 15 spore/g de sol. Une grande diversité des spores a été observée indiquantla présence de plusieurs espèces de CMA. Ces résultats preuves que l’inoculum primaire est riche en propagules. La multiplication des champignons mycorhiziens pour produire un biofertilisant est considéré comme un processus complexe, elle nécessite de nombreuses tentatives qui prennent beaucoup de temps, c’est la raison pourquoi il été impossible d’atteindre le but de cette étude. Cependant, le projet se poursuivra jusqu’à ce que les résultats souhaités soient réalisés.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherblida 1fr_FR
dc.subjectBiofertilisant, champignons mycorhiziens arbusculaires, mycorhizes, symbiose mycorhizienne.fr_FR
dc.titleMise au point d'un biofertilisant à base d’agents mycorhiziens endémiquesfr_FR
dc.typeOtherfr_FR
Collection(s) :Mémoires de Master

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