Enquête épidémiologiques sur les avortements bovins laitiers due a la Rhinotrachéite infectieuse bovine IBR dans la Wilaya Bejaia

Abstract

L’élevage bovin algérien est prédisposé aux multiples pathologies qui se répercutent sur la santé des cheptels, la santé publique et le statut économique du pays. Dans se présent travail on à essayer de mettre l’éclaire sur une pathologie susceptible de provoquer des avortements bovins est bien d’autres signes plus frappants on parle bien sur la Rhinotrachéite infectieuse bovine ou bien IBR, dans l’agent infectieux est le BHV-1. Ce dernier, provoque plusieurs effets néfastes chez les troupeaux de bovins à travers le monde. Il est bien connu par l’impact économique des infections qu’ils provoquent surtout de fait qu’il est considéré comme étant un agent causal d’avortement chez les bovins. Dans un premier temps une étude bibliographique intéressera on premier lieu, l’historique, la définition de IBR, la description des propriétés virologiques de l’herpe virus bovin 1, sa pathogénie et les lésions caractéristiques ; ensuite les symptômes qu’il provoque de même que son mode de transmission. Dans un second lieu, L’épidémiologie descriptive générale de cette maladie ainsi que les différentes méthodes de diagnostique sont traités pour permettre davantage de comprendre sa progression. Bien qu’aucun traitement n’existe pour éliminé ce virus, il peut être approprie pour éviter les infections secondaires qui pourraient venir aggraver la maladie, En raison de cela la vaccination est principalement utilisée. Nous regarderons ensuite se qu’il est possible de faire pour prévenir l’entrée de BHV1 dans l’élevage par la mise en place des différents moyens de préventions. Dans un deuxième temps une étude expérimentale qui viseras les vétérinaires en vue d’obtenir des résultats de la fréquence et la prévalence des avortements sur le territoire de Bejaia. Dans cette enquête épidémiologique 33 praticiens ont observés l’enfouissement de l’avortant soit un taux de 82.5% et 22 praticiens ne déclarent pas les cas d’avortements aux autorités concernées 55%. Et les praticiens qui n’incriminent pas l’application de traitement préalable comme cause d’avortement, déclarent ne pas réaliser des prélèvements sur l’avortant en vue d’analyse, ont observés des mortinatalités également des signes nerveux et locomoteurs soit un taux qui tourne autour des 90%.