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Titre: Etude de la qualitédes eaux de surface destinées a l'irrigation cas de barrage de Dahmouni , wilaya de Tiaret.
Auteur(s): ADNANE, Farida
Mots-clés: analyses physico-chimiques
barrage de Dahmouni
eaux brutes
irrigation
métaux lourds
Date de publication: jui-2015
Résumé: A Tiaret, l'utilisation des eaux brutes du barrage de Dahmouni en agriculture irriguée date de 1987, depuis la construction de ce barrage, et est toujours d'actualité. Le barrage est alimenté dans sa totalité par les eaux usées de la ville de Tiaret, les localités qui l'entourent (Dahmouni, Sougueur, Bouchekif, Ain Meriem, l'usine de SONACOM et l'usine de FATIA) ainsi que les eaux des pluies pendant la saison hivernale. Les prélèvements ont été effectués au niveau du barrage de Dahmouni (Tiaret). Au cours des 6 mois de notre étude, nous avons analysé 6 prélèvements, pour les analyses physico-chimiques et 4 prélèvements pour la recherche de l'existence des métaux lourds, par moyenne d'échantillon pour chaque station.L'échantillonnage de l'eau a été fait à partir de trois stations de Décembre à Mai. Les résultats des différentes analyses physico-chimiques montrent que cette eau présente un pH de 8,5 ; une conductivité plus ou moins importante de 1242,33µS/cm ± 84,33µS/cm, un pourcentage plus ou moins élevé de salinité de 50,69 % et un S.A.R de 6,03meq/l ± 0,57meq/l confirmé par le diagramme de Riverside. Les données des échantillonnages durant tous les mois de prélèvement classent les eaux de l'ensemble des stations dans la catégorie admissible. Globalement, les valeurs du dosage des métaux lourds sont toujours inférieures au seuil détectable : 13,75µg/l ± 6,25µg/l pour le plomb, 5,01µg/l ± 4,74µg/l pour le cuivre, 12,25µg/l ± 7,37µg/l pour le zinc et 1,18µg/l ± 1,26µg/l pour le fer. Les résultats trouvés, comparés aux directives de la FAO (2003), l'OMS(1989) et avec celles de RODIER (2005), ont mis à jour certaines " anomalies " pouvant être à l'origine de problèmes agronomiques, pédologiques (perméabilité) et de toxicité, dus à des teneurs excessives en sodium, potassium, résidus secs, azote et phosphates. Le constat établi est que la pratique de l'irrigation se fait de façon anarchique sans aucune étude préalable d'évaluation de la qualité des eaux, les agriculteurs irriguent plusieurs types de cultures sans le moindre contrôle.
Description: 67p. ;30cm. ;ill. +cd rom
URI/URL: http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/3665
Collection(s) :Mémoires de Master

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