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dc.contributor.authorTakdemt, Wathik-
dc.date.accessioned2025-04-24T15:06:35Z-
dc.date.available2025-04-24T15:06:35Z-
dc.date.issued2024-
dc.identifier.urihttps://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/39186-
dc.description.abstractLe bilan lipidique est comparable en fonction du sexe mis à part un taux d'HDLc significativement plus élevé chez la femme (0.42 vs 0.35 g/l, p=0.001). Les syndromes coronariens aigus représentent le principal motif d'admission de ces patientes-là (près de 56%). ? l'admission, nous rapportons 46.9% de dysfonction VG sévère à modérée, ce taux est significativement plus élevé chez les hommes (63%, p =0.028). 56.2% des patientes présentent une coronaropathie non obstructive, majoritairement représentée par des coronaires angiographiques saines (62%). Les femmes présentent un risque relatif de 1.76 (p=0.001) de présenter une coronaropathie non obstructive par rapport aux hommes. Ce risque s'élève à près de 2 chez le sous-groupe des syndromes coronariens chroniques (p=0.001). Les facteurs prédictifs d'une coronaropathie non obstructive chez notre population d'étude étaient la présence d'antécédents de COVID 19 (OR 3.87, p=0.010), l'absence de diabète (OR 3.45, p=0.001), le sexe féminin (OR 3.18, p=0.008), l'absence d'anomalies à l'ECG (OR 3.08, p=0.01)). Nous rapportons un taux de mortalité de 3.8 % chez les femmes (vs 4.6 chez les hommes, p=0.506), avec un taux d'événement cardiovasculaire de 14.2% (vs 13.2% des hommes, p>0.05). Nous rapportons également une amélioration de la FEVG à un an chez 25.5 % des patientes (vs 27.4% des hommes, p=0.013) , et une détérioration chez 30.4% (vs 14.4 % des hommes, p=0.013) au bout d'une durée de suivi minimal de 12 mois. 13.9 % des patientes présentent une épreuve d'effort positive à un an (vs 12.4% des hommes, p=0.01), la capacité fonctionnelle est significativement plus basse chez les femmes (9.8 vs 13.1 METS, p= 0.001). Ces résultats sont indépendants, pour la majorité, du type d'atteinte coronaire. Les attitudes thérapeutiques sont comparables en fonction du sexe, les femmes ont eu accès aux mêmes modalités de soins que les hommes. Les grossesses sont désormais contre-indiquées chez 1.2% des patientes, 25 % des patientes sont classées à haut risque de grossesse ultérieure, L'évaluation de la qualité de vie par le score MFI20 ne retrouve pas de différence significative en fonction du sexe ou du type de lésions. Nous rapportons plus de symptômes anxieux chez les femmes (p=0.018). Le type d'atteinte coronaire n'a pas était un élément déterminant dans nos résultats.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUniv. Blida 1fr_FR
dc.subjectCoronaropathie de la femmefr_FR
dc.subjectfemme jeunefr_FR
dc.subjectCoronaropathie du sujet jeunefr_FR
dc.titleProfil diagnostique et pronostique de la maladie coronaire chez la femme de moins de 50 ansfr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Thèse de Doctorat

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