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https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/5716
Titre: | Etude clinique et génétique du parkinson familial |
Auteur(s): | Benmahdjoub, Mustapha |
Mots-clés: | Maladie de parkinson idiopathique Maladie de parkinson forme familiale Etude clinique et génétique |
Date de publication: | 2017 |
Editeur: | Univ-Blida 1 |
Résumé: | La maladie de Parkinson est une affection dégénérative du Système Nerveux Central intéressant essentiellement les neurones dopaminergiques de la voie nigro-striée, responsable de symptômes moteurs: akinésie, hypertonie crantée, tremblement de repos. Cette triade parkinsonienne constitue le socle principal du diagnostic établi dans les critères de cette pathologie. L’étiologie exacte de la maladie de Parkinson demeure inconnue. L’ hypothèse actuelle la plus plausible combine à la fois les facteurs génétiques et les facteurs environnementaux. C’est une étude portant sur 570 malades ayant un syndrome parkinsonien. Parmi ces 570 malades, 488 (85,6%) patients répondaient aux critères de diagnostic de maladie de Parkinson dopa-sensible. La présence d’un ou de plusieurs autres cas de maladie de Parkinson dans la famille a été retrouvée dans 49 cas (10,04 %) ; ceux-ci ont été classés comme cas index de parkinson familial. 36 familles (73,5%) étaient non consanguine de transmission autosomique dominante et 13 (26,5%) familles consanguine dont 11 (22,44%) familles de transmission autosomique dominante et 02 (4,08%) familles de transmission autosomique recessive. L’âge moyen de début de la maladie était de 55,23 ± 13,32 ans, le sex ratio de 1.22 avec une légère prédominance masculine, une endogamie de 26,5%. Cliniquement la maladie de Parkinson forme familiale est similaire à la maladie de parkinson sporadique ; il ya une variabilité intrafamiliale et interfamiliale de toutes les caractéristiques cliniques . Génétiquement la maladie de Parkinson forme familiale en Algérie est hétérogène avec deux modes de transmission : autosomique dominant et autosomique récessif. Le gène LRRK2, est le plus fréquent dans notre population d’étude pour les modes de transmission dominante consanguine et non consanguine confondus. Les gènes Parkine et Pink1, sont rares et sont exclusivement à mode de transmission consanguin récessif. La durée d’évolution de la maladie était longue (16.57 ± 7.4) chez les patients consanguins particulierement dans les 344 familles où le mode de transmission était autosomique récessif. Les effets indisérables moteurs liés aux traitements dopaminergiques étaient plus marqués chez les patients à début précoce. Tandis que les patients à début tadif avait une progression motrice plus rapide, une moins bonne sensibilité à la dopathérapie, une moindre fréquence des complications motrices. Des troubles de la marche et de l’équilibre plus importants. Mots clés : maladie de Parkinson idiopathique, maladie de Parkinson forme familiale, étude clinique et génétique. |
Description: | 316 p. : ill. ; 30 cm. |
URI/URL: | http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/5716 |
Collection(s) : | Thèse de Doctorat |
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