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dc.contributor.authorDADOUN, Mohamed El Habib-
dc.contributor.authorRAHMANI, Abd El Hakim-
dc.date.accessioned2019-10-12T15:29:37Z-
dc.date.available2019-10-12T15:29:37Z-
dc.date.issued2019-
dc.identifier.urihttp://di.univ-blida.dz:8080/xmlui/handle/123456789/675-
dc.description79 p.; ill.fr_FR
dc.description.abstractUrinary tract infections are common pathologies both in the community and in hospitals, and their clinical expression is of varying severity and symptomatology. We conducted a retrospective study over a seven-year period from January 1, 2012 to December 31, 2018, covering all, cytobacteriological examination of urine, positive results from the central biology laboratory of the Frantz Fanon University Hospital, Blida. The purpose of this work was to determine the frequency of urinary tract infections, to study the epidemiology and bacteriology of the germs responsible for these urinary tract infections, as well as the monitoring of antibiotic resistance. Of the 17,515 urine samples received, 2941 met the criteria for urinary tract infection, or 16.79% positive. All age groups were affected by this infection with a predominance of the female sex (69%). The germs responsible are mainly Gram-negative bacteria 84.12%, largely dominated by Escherichia coli (52.33%), and followed by Klebsiella pneumonia (13.16%), Proteus mirabilis (03.60%), and Pseudomonas aeruginosa (03.43%). Gram-positive bacteria accounted for 04.11% and 02.45% respectively for Enterococcus faecalis and Streptococcus beta hemolytic group B. We have noted increased resistance of Escherichia coli to the different families of widely prescribed antibiotics including ampicillin (73%) and the combination of amoxicillin and clavulanic acid (32%), as well as cotrimoxazole (46%), ertapenem and imipenem still maintain relatively good activity. The prevalence of enterobacterial urinary tract infections producing BLSEs in our study was 11.78% among all enterobacterial urinary tract infections. The resistance of isolated bacteria to common antibiotics, highlighted in our study, shows the value of monitoring the evolution of bacterial ecology and resistance profile. These results suggest the need for antibiotic prescription management, while adapting antibiotic therapy to the antibiotic susceptibility test, the patient and its environment. Résumé : Les infections urinaires sont des pathologies fréquentes aussi bien en communauté qu’à l’hôpital, dont l’expression clinique est de gravité et de symptomatologie variées. Nous avons mené une étude rétrospective durant une période de sept ans s’étendant du 01er Janvier 2012 au 31 Décembre 2018, portant sur tous les ECBU positifs réalisés au laboratoire central de biologie du CHU Frantz Fanon, Blida. Le but de ce travail était de déterminer la fréquence des infections urinaires, d’étudier l’épidémiologie et la bactériologie des germes responsables de ces infections urinaires, ainsi que le suivi de l’antibiorésistance. Nous avons constaté que sur 17 515 prélèvements d’urine reçus, 2941 répondaient aux critères d’infection urinaire, soit 16,79 % de positivité. Toutes les tranches d’âges ont été touchées par cette infection avec une prédominance du sexe féminin (69 %). Les germes responsables sont surtout les bactéries à Gram négatif 84,12 %, largement dominés par Escherichia coli (52,33%), suivi de Klebsiella pneumonaie (13,16 %), Proteus mirabilis (03,60 %), et Pseudomonas aeruginosa (03,43 %). Les bactéries à Gram positif représentaient respectivement 04,11 % et 02,45 % pour les Enterococcus faecalis et Streptocoques bêta hémolytique groupe B. Nous avons noté une résistance accrue d’Escherichia coli vis-à-vis des différentes familles d’antibiotiques largement prescrits notamment l’ampicilline (73 %) et l’association amoxicilline-acide clavulanique (32 %), ainsi que le cotrimoxazole (46 %), l’ertapénème et l’imipénème gardent relativement encore une bonne activité. La prévalence des infections urinaires à entérobactéries productrices des BLSE dans notre étude était de 11,78 %, parmi toutes les infections urinaires à entérobactéries. La résistance des bactéries isolées aux antibiotiques usuels, mise en évidence dans notre étude, montre l’intérêt du suivi de l’évolution de l’écologie bactérienne et du profil de résistance. Ces résultats suggèrent la nécessité de la gestion de la prescription des antibiotiques, tout en adaptant l’antibiothérapie à l’antibiogramme, au patient et à son environnement. .fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUniversité de Blida 1, Faculté de Medecinefr_FR
dc.subjectUrinary infection, epidemiology, bacteriology, antibiotic resistance, Blida.fr_FR
dc.subjectInfection urinaire, épidémiologie, bactériologie, antibiorésistance, Blida.fr_FR
dc.titleINFECTIONS URINAIRES AU CHU FRANTZ FANON DE BLIDA : ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES ET BACTERIOLOGIQUESfr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Mémoires

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