Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/7632
Titre: Etude du stress oxydatif , les caractéristiques épidémiologiques et anatomopathologiques au cours d’une chimiothérapie néoadjuvante chez des patientes atteintes d'un cancer du sein
Auteur(s): Menad, Hadjer
Morsel, Imene
Mots-clés: Cancer du sein
stress oxydant
chimiothérapie néo adjuvante
biomarqueurs pro- et antioxydants
Date de publication: sep-2020
Résumé: Le cancer du sein est le cancer féminin le plus fréquent à travers le monde. De multiples thérapies ont été développées afin de lutter contre ce cancer. Cependant, la toxicité de certains traitement, notamment la chimiothérapie, peut augmenter les dommages oxydatifs et contribuer à l’évolution du cancer vers le stade métastase et à la résistance médicamenteuse. La présente étude a concerné 9 patientes, récemment diagnostiquées pour un cancer du sein et programmées pour une chimiothérapie néoadjuvante au service d’oncologie médicale du CMPC. Après avoir signé un consentement éclairé, les patientes ont été soumise à questionnaire détaillé, nous permettant de définir les facteurs de risques et pronostiques. Nous avons aussi étudié les dossiers médicaux de ces patientes et réalisé une synthèse bibliographique des articles traitant la relation « stress oxydant-cancer du sein ». Dans le but d'étudier l'effet de la chimiothérapie néoadjuvante sur le fonctionnement des leucocytes en comparant les biomarqueurs pro-oxydants et antioxydants dans un groupe de femmes atteintes d'un cancer du sein et chez les femmes en bonne santé. L’étude épidémiologique a révélé une moyenne d’âge de 51 ans. 6 patientes ont eu leur ménarche à un âge précoce (≤ 12 ans), 5 patientes ont pris des contraceptifs oraux, 5 étaient multipare, 5 femmes n’ont jamais allaité ou pendant une courte durée et 5 ont été ménopausée après 50 ans. La majorité des patientes présentaient diverses pathologies qu’elles soient liées au sein, au métabolisme ou au système immunitaire. De plus, 3 patientes avaient un antécédent familial de cancer du sein ou d’autres cancers (n=5). Le régime alimentaire de la majorité des patientes était déséquilibré justifiant ainsi leur surpoids et 5 d’entre elles ont avoué être soumise à un stress élevé. Concernant l’aspect anatomopathologique, nous avons constaté que le type histologique le plus fréquent était le CCI (n=5), 5 des tumeurs étaient de grade 2, 4 étaient classées dans le triple négatif et 3 de type Her2. Les espèces réactives de l’oxygène (ROSs) générés pendant la chimiothérapie, peuvent interférer avec l'efficacité du traitement. Plusieurs arguments sont avancés par les partisans de cette école, et proposent leur utilisation comme biomarqueurs diagnostic et pronostic dans le cas du cancer du sein. Il aussi été recommandé de compléter la chimiothérapie avec des antioxydants.
Description: 47 p., ill., cd-rom, 30 cm
URI/URL: http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/7632
Collection(s) :Mémoires de Master

Fichier(s) constituant ce document :
Fichier Description TailleFormat 
203 M.BCMI.pdfBiologie Moléculaire et Cellulaire SNV2,49 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir


Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.