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Titre: Effet des stress abiotiques: salin et hydrique sur le comportement des plantules du pistachier de l’Atlas : Pistacia atlantica Desf.
Auteur(s): SACI, HACHEM
Mots-clés: Pistacia atlantica
Stress salin
Stress hydrique
Chlorophylles
Proline
Date de publication: sep-2016
Résumé: L’étude du comportement morpho-physiologique et biochimique des plantules du pistachier de l’Atlas (Pistacia atlantica Desf.) en conditions difficiles (stress salin et hydrique) a montré que les plantules irriguées par l’eau saline de concentration 3, 6, 9et 12 g/l de NaCl durant 15 jours manifestent des variations importantes. La concentration de 3 g/l de NaCl a stimulé la croissance des plantules du pistachier avec une longueur moyenne de la tige atteignant 11.83 cm pour l’écotype Médéa et de10.16 pour l’écotype Djelfa. Au-delà de cette concentration (3g/l), la longueur de la plante diminue jusqu’à atteindre une valeur minimale de 9 cm chez les plantules stressées par 12g/l. L’étude de la croissance des plantes a été complétée par le dosage des chlorophylles (a) et (b). Le taux de la chlorophylle (a) augmente pour les traitements TM2 et TD0 0.56 et 0.8 μg/gMF. Le taux de la chlorophylle b et stimulé en présence de 3g/l de NaCl par la suite il diminue en fonction de la concentration de sel. L’accumulation des osmorégulateurs, en l’occurrence la proline a augmenté en fonction de l’augmentation de l’intensité du stress la valeur varie entre 0.3μg/gMF pour le témoin et 1.18μg/gMF chez les plantules stressées par 12g/l. L’accumulation des sucres solubles dans les feuilles pour les plantules augmente progressivement avec l’intensité du stress salin jusqu’a attendre une valeur maximale de 1.35 μg/gMF. Concernant le stress hydrique, l’application d’un arrêt d’arrosage de 15 jours a montré une grande résistance de l’espèce à la sécheresse manifestée par le développement d’un appareil aérienne et racinaire important. Le taux de la chlorophylle (a) et (b) est stimulé après 5 jours et 15 jours de stress respectivement. La teneur en sucre soluble a augmenté en fonction de l’intensité de stress hydrique. La valeur proline est d’une moyenne de 1.50μg/gMF pour l’écotype Médéa durant de 15 jours.
Description: 71 p., ill., cd-rom, 30 cm
URI/URL: http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/8666
Collection(s) :Mémoires de Master

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