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https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/9737
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Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
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dc.contributor.author | YKHLEF, ACHERAF AMINE | - |
dc.contributor.author | NEDJHIOUI, BILLEL | - |
dc.contributor.author | HEZIL, N. Promoteur | - |
dc.date.accessioned | 2021-02-08T08:04:38Z | - |
dc.date.available | 2021-02-08T08:04:38Z | - |
dc.date.issued | 2020 | - |
dc.identifier.uri | http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/9737 | - |
dc.description | LA COTE: 2061THV;49p.; ill.; tabl. | fr_FR |
dc.description.abstract | La coccidiose est une maladie très répandue dans les élevages de poulets de chair, et est associée à des pertes financières majeures. L’objectif de la présente étude basée sur une enquête est d’établir un constat sur la fréquence de cette maladie et de son évolution en élevages de poulets de chair auprès de vétérinaires praticiens exerçant dans les wilayas de Médéa, Blida, Tipaza, Alger, Bouira. De notre étude, il ressort que 85% des vétérinaires contactés interviennent principalement dans les élevages de poulets de chair ; d’après ces derniers les bâtiments d’élevage sont de type traditionnel à 89%, suivent les bâtiments modernes 56%, puis des chapelles de 18,5%. Les facteurs d’ambiance y sont assez bons pour certains critères : 86% pour luminosité, 78% pour l’aération, 82% pour la densité de sujet par mètre carré, 68% utilisent de la paille ; 57% pour l'hygrométrie, cependant 50% des bâtiments n'ont pas de pédiluves. Selon notre enquête, la coccidiose est plus fréquente dans les bâtiments traditionnels et les chapelles respectivement à 83% et 28%, ces types de conception ne répondent pas aux normes d’élevage. Le diagnostic de la coccidiose est basé à 100% sur l’autopsie, 90% des lésions propres à la coccidiose sont observées au niveau de l’intestin : lésions hémorragiques à 59% ; lésions nécrotiques à 24 % et pétéchies au niveau intestinal, ces lésions siègent au niveau du caecum à 79% et du duodénum à 65,5%. Nos résultats indiquent que les produits les plus utilisés sont les antibiotiques à 82% ; les anticoccidiens à 78,5% ; les antistress à 68% et 53,5% pour les vaccins et les vitamines. 76% des vétérinaires s'accordent sur le recours au traitement préventif pourtant malgré ce dernier la maladie se déclare d’après 65,5% des praticiens. Le traitement curatif est basé sur : le BAYCOX / l’ALGICOX / l’AMPROLIUM / le COCCIDIOPAN®, et/ou le COCCIVAL® ; cette utilisation est relative avec la disponibilité de ces produits sur le marché. L’association médicamenteuse est utilisée avec la vitamine K pour arrêter les hémorragies. Concernant les alternatives d’origine biologique 31% des éleveurs utilisent des produits naturels (89% du vinaigre de cidre, 22% des épices et 33% des extraits végétaux). La maitrise de cette maladie repose sur la pratique des bonnes conduites d'élevage avec une application rigoureuse d’une prophylaxie médicale et/ou biologique. | fr_FR |
dc.language.iso | fr | fr_FR |
dc.publisher | UNIV. BLIDA1 | fr_FR |
dc.subject | Coccidiose | fr_FR |
dc.subject | Poulet chair | fr_FR |
dc.subject | Enquête | fr_FR |
dc.subject | Vétérinaires praticiens | fr_FR |
dc.title | Enquête sur la coccidiose chez le poulet de chair auprès des vétérinaires praticiens dans la Région centre d’Algérie | fr_FR |
dc.type | Thesis | fr_FR |
Collection(s) : | Mémoires |
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