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Titre: Enquête épidémiologique sur les avortements chez les ruminants à la fièvre Q
Auteur(s): Ait hammou, Mohamed Said
Mahfoud, Abdennour
Mechtoub, Nabil
MEKADEMI, Karima Promotrice
Mots-clés: Coxiella burnetii
diagnostic
fièvre Q
traitement
épidémiologie
génomique
Date de publication: 2020
Editeur: UNIV. BLIDA1
Résumé: Nos travaux ont porté sur la fièvre Q dont le principal réservoir est le ruminant ; Coxiella burnetii en est l'agent de la fièvre Q, ou "fièvre des requêtes", une zoonose décrite pour la première fois en Australie en 1937. Depuis cette première description, les connaissances sur cet agent pathogène et les infections qui lui sont associées ont augmenté de manière spectaculaire. Nous passons ici en revue tous les progrès réalisés au cours des 20 dernières années sur ce sujet. Cette maladie est peu étudiée en Algérie ; et le manque de données sur la fréquence et la distribution de la maladie est observée. Avec une étude détaillée de l'agent causal C. burnetii qui est classiquement un intracellulaire strict, Bactérie à Gram négatif. Cependant, une étape importante dans la caractérisation de ce pathogène a été réalisée par l'établissement de sa culture axénique. C. burnetii infecte un large éventail des animaux, des arthropodes aux humains. Les déterminants génétiques de la virulence sont désormais mieux connues, grâce à la détermination des séquences du génome de plusieurs souches de cette espèce et des analyses génomiques comparatives. La fièvre Q est présente dans le monde entier, mais les caractéristiques épidémiologiques de cette maladie varient en fonction de la zone géographique considérée, y compris les situations où elle est endémique ou hyper endémique, et l'apparition des épidémies. Ces dernières années, une percée majeure dans la compréhension de l'histoire naturelle de l'infection humaine par C. burnetii a été la rupture de l'ancienne dichotomie entre la fièvre Q "aiguë" et "chronique". La présentation clinique de l'infection à C. burnetii dépend à la fois de la virulence de la souche infectante de C. burnetii et des facteurs de risque spécifiques à le patient infecté. De plus, il ne peut y avoir de contagion persistante sans une concentration de l'infection. Ce changement de paradigme devrait permettre un meilleur diagnostic et une meilleure gestion des infections primaires et les complications à long terme chez les patients atteints d'une infection à C. burnetii. D'autre part, la vaccination semble être le meilleur moyen de combattre la fièvre Q. Une phase I Le vaccin inactivé, dont l'efficacité préventive a été démontrée expérimentalement, est autorisé en France depuis 2004. Plusieurs équipes de recherche et organisations professionnelles sont qui évalue actuellement les avantages de ce vaccin dans les troupeaux.
Description: LA COTE: 2192THV;23 p.; ill.; tabl.
URI/URL: http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/9842
Collection(s) :Mémoires

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