Résumé:
Les villes côtières font partie des espaces les plus dynamiques. Ils constituent les premiers
foyers de peuplement humain quels que soient les continents et donc on peut considérer les
villes côtières comme des carrefours de civilisation. Aujourd’hui on a huit à dix grandes villes
métropoles au monde sont située au bord de la mer et même elles jouent un rôle de plus en
plus grand à partir de sa richesse environnementale, économique et sociale.
Par ailleurs, une ville côtière par son histoire qui est riche souvent avec « des symboles ou des
équipements historiques » qui racontent le passé et reflètent le présent et donc l’actuelle
tâche a pour le but de solliciter la problématique de l’interface ville-mer, plus précisément de
valoriser et de réaménager le front de mer pour valoriser les équipements historiques de la
ville côtière et relier la ville avec la mer.
Alger, « la radieuse » la ville côtière et la future métropole, suscite une place particulière et
très importante dans l’histoire urbain et le développement du littorale algérien. Bordj El Kiffan,
est l’une des communes d’Alger, sous le nom « Fort de l’eau » à l’époque coloniale par rapport
à l’ancien fort turc ottoman, cette dernière a marqué l’histoire d’Alger et même concerné par
le grand projet urbain.
Notre travail a pour le but de renforcer la relation ville – mer et de valoriser le fort turc (un
patrimoine architectural abandonné) par l’aménagement de front de mer de la ville de Bordj
El Kiffan par une promenade maritime qui contienne de différents évènements. En parallèle,
la valorisation du fort turc afin de le relier avec le front de mer et la ville. Enfin, donner une
nouvelle image attractive à la ville en tenant en compte sa continuité avec le front de mer et
l’inscrire dans l’aire de la grande métropole d’Alger.
