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dc.contributor.author |
CHOUAKRI, yasmine |
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dc.date.accessioned |
2021-06-07T07:19:56Z |
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dc.date.available |
2021-06-07T07:19:56Z |
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dc.date.issued |
2020-09 |
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dc.identifier.uri |
http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/11686 |
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dc.description |
48 p. ; ill. ; 30 cm. ;+cd-rom |
fr_FR |
dc.description.abstract |
Les candidoses sont dues à des levures ubiquitaires et opportuniste appartenant au genre Candida. C. albicans est l'espèce la plus commune, responsables de candidoses profondes. Cependant, d'autres espèces pathogènes et résistantes aux agents antifongiques habituels commencent à émerger. Ainsi, il est intéressant d'identifier correctement les isolats fongiques. L’objectif est de décrire une surveillance prospective en laboratoire des espèces de Candida collectées à partir de différents sites anatomiques de patients.
Notre travail a porté sur l’étude des caractéristiques de 56 patients en fonction de plusieurs paramètres notamment : l’âge, le sexe, la provenance et les principaux signes cliniques. Le diagnostic des mycoses profondes a été établi sur la base de la conclusion des interprétations des différentes méthodes utilisées : le diagnostic mycologique, le diagnostic immunologique et le diagnostic moléculaire.
Les résultats obtenus montrent que cette pathologie toucherait plus préférentiellement l’homme d’âge mur avec une moyenne d’âge de 47.07ans. Les services les plus touchés par la candidémie sont les services de pneumologie (33.33%) et d’hématologie (20.37%). Le diagnostic mycologique a donné 75% de patients positifs, et la détection combinée d’Ac et d’Ag dans le sérum a permis d’augmenter de façon considérable la sensibilité du diagnostic immunologique et nous a orientés vers une suspicion de candidose. Une évaluation de la technique moléculaire PCR pour différencier entres C. albicans et C. dubliniensis(qui ont été sensible aux antifongiques par l’antifongigramme) a montré une prédominance des C. albicans. Quant a l’Auxacolor, il a révélé la présence de 5 autres souches non albicans, C. parapsilosis (25%), C. dubliniensis (25%), C. krusei (12.5%) et C. tropicalis (12.5%).
La détection d’Ac et d’Ag fournit dans de nombreux cas des résultats que l’on ne saurait négliger. La PCR, encore au stade expérimental, fournit des résultats prometteurs. La variabilité de la distribution des espèces de Candida provenant de différents sites anatomiques souligne l'importance de l'épidémiologie locale dans la prise en charge de la maladie et la sélection des agents antifongiques. |
fr_FR |
dc.language.iso |
fr |
fr_FR |
dc.subject |
mycoses profonde - diagnostic - algorithmes clinicobiologiques - antifongique |
fr_FR |
dc.title |
Diagnostic des mycoses profondes à l’hôpital de Ain naâdja |
fr_FR |
dc.type |
Thesis |
fr_FR |
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