Résumé:
L’objectif de notre travail vise à évaluer la qualité sanitaire d’une culture maraichère Tomate Dawcen alimentée par trois types d’eau (eau brute, eau traitée d’une station d’épuration de Baraki, et eau de ville) afin d’inciter que sa consommation est avec ou sans danger sur la santé public. Cette étude est basée sur l’analyse des paramètres physico- chimique, microbiologique et toxicologique (métaux lourds et pesticides) de l’eau et de la tomate.
Les résultats obtenus ont montré que la majorité des paramètres physico-chimiques et toxicologiques des trois types d’eau répondent aux normes algériennes en vigueur. La qualité microbiologique des eaux brutes est d’une forte pollution microbienne. La présence d’E. coli de salmonelle au niveau des eaux traitées interprète une contamination fécale et un risque public peut être engendrer par la présence de bactérie pathogène.
L’irrigation de la tomate par les trois types d’eaux a mené à une croissance et un rendement similaires mais encore meilleur avec l’eau traitée. Nous avons noté par la méthode Charm 2 la présence des pesticides (organophosorés et carbamates) dans les deux traitements (T1et T2) et une qualité microbiologique satisfaisante pour le produit fini (tomate).