Université Blida 1

Evaluation de la cortisolémie chez le bouc de race bédouime Capra hircus au cours d'une déshydratation expérimentale à l'état basal et stimulée par l'ACTH

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dc.contributor.author NADJEMI, Soumaya
dc.contributor.author MENTFI, Khadoudja Bouchra
dc.contributor.author CHERGUI, N. Promotrice
dc.date.accessioned 2021-11-28T08:53:24Z
dc.date.available 2021-11-28T08:53:24Z
dc.date.issued 2014
dc.identifier.uri http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/13198
dc.description LA COTE: 814THV; 45p.; ill.; tabl. fr_FR
dc.description.abstract L'étude de l'activité corticosurrénalienne chez le bouc de race bédouine Capra hircus, élevé dans la région de Béni Abbes (30°7' de latitude ; 20°10' de longitude Ouest, Wilaya de Bechar), a été recherché par l'analyse de la cortisolémie à l'état basal et stimulé par l’ACTH en utilisant la technique FPIA (Dosage Immunologique par Polarisation de Fluorescence). L'influence de La déshydratation et de la réhydratation sur cette sécrétion a été également recherchée. Les prélèvements sanguins sont effectués à 8h, 16h et 20h chez 02 lots de boucs : témoins, injectés à 8h par 1 ml de sérum physiologique et le 2ème lot stimulés, injectés à 8h par 1 mg d'ACTH dilué dans 1 ml de sérum physiologique. Les prélèvements sont réalisés au cours de 3 périodes, 24h avant déshydratation, 3ème jours de déshydratation et pendant 2 jours de réhydratation. Les résultats obtenus montrent des variations nycthémérales de la cortisolémie chez les témoins non déshydratés : valeurs élevées le matin (8h) et le soir (20h) respectivement 12,5 + 4,18 et 13 + 2,65 ng/ml, baisse l'après midi (16h): 11,5 2,50 ng/ml. L'ACTH exogène masque ce rythme de sécrétion, puisque les valeurs montrent une augmentation progressive de 8h jusqu'à 20h : 16,33 £ 2,33 ; 51,67 $ 9,90 et 64,67 + 1,33 ng/ml respectivement. La déshydratation et la réhydratation affectent également la cortisolémie. En effet, les valeurs augmentent significativement après 3 jours de déshydratation que ce soit chez les témoins ou chez les stimulés : 141,53 ; 46,33 = 12,39 ng/ml respectivement à (8h), chez ces derniers le taux plasmatique du cortisol en période clair (8h) est plus marquée qu'en période sombre (20h), ce résultat est inverse à celui observé chez les témoins : 14 = 1,53 ; 22,5 + 0,50 ng/ml respectivement. Au début de la réhydratation, la monté de la cortisolémie dure plus longtemps et elle est également plus marquée chez les stimulés (76,33 + 7,45 ng/ml, 30 min après la réhydratation) que chez les témoins (15 3,21 ng/ml), elle baisse progressivement à 16h et à 20h pour revenir aux taux de base au deuxième jour de la réhydratation, alors qu'elle revienne à son état initial quelques heures après chez les témoins. Ce travail permet de confirmer que le bouc de race bédouine s'adapte efficacement aux changements des conditions physiologiques qui peuvent se produire naturellement (période claire et sombre) ou expérimentalement (déshydratation et réhydratation). fr_FR
dc.language.iso fr fr_FR
dc.publisher univ. blida1 fr_FR
dc.subject Chèvre fr_FR
dc.subject Cortisol fr_FR
dc.subject Nycthémère fr_FR
dc.subject Déshydratation fr_FR
dc.subject Sahara fr_FR
dc.title Evaluation de la cortisolémie chez le bouc de race bédouime Capra hircus au cours d'une déshydratation expérimentale à l'état basal et stimulée par l'ACTH fr_FR
dc.type Thesis fr_FR


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