Résumé:
Résumé
La rétention placentaire est l'une des pathologies la plus fréquente dans l'élevage bovin laitier, pour cette cause les vétérinaires praticiens exerçants doivent, en toute conscience, procéder à une prise en charge réelle. Compte tenu des conséquences et des retombées négatives induites par cette pathologie concernant les pertes économiques, zootechniques et médicales.
L'analyse des questionnaires remplis par les vétérinaires praticiens répartis sur la wilaya de Médéa, dont la moitié des vétérinaires considèrent que le moment le plus opportun à intervenir pour traiter une rétention placentaire après un vêlage est de 24 heurs, 14,8 % après 12 heurs et 14,83% après 36 heurs et 11,11% après 48 heurs, elle est fréquente à 55,56% et rare à 44,44%, elle apparaît suite à un vêlage normal ou dystocique. Elle est fréquente chez les vaches multipares à 66,66% que les vaches uniparts à 33,33%, Elle est observée après les vêlages d'hiver 66,6%, de printemps 22,2%, d'été 11,1%, elle touche le plus souvent les races importés à 66,66% et 33,33% pour les races locales, chez l'élevage à stabulation entravée 40,7%, mixte 33,33% et libre 25, 9%.
uction de la délivrance se fait par deux types d'intervention manuelle 33,33%, et médicale 66,66%. Les conséquences les plus importantes de la rétention placentaire sont : retard d'involution utérine 62,9%, retard de la fécondation 62,9% et retard de la chaleur 37,03%.
L’induction
La prévention selon les vétérinaires interrogés se base sur trois volets, médical à 18,5%, hygiénique à 18,5% et zootechnique à 62,9%.
