Résumé:
Résumé:
Dans cette étude nous nous sommes proposé de faire une étude bibliographique de l'effet de quelque paramètres biochimiques (la glycémie, l'azotémie) sur la fertilité chez la vache laitière dans laquelle il ressort que :
-La reproduction est une fonction primordiale, elle est la première affectée par toute erreur alimentaire et serait responsable de 45 à 60% d'infertilité bovine. Presque tous les éléments de
la ration sont incriminés dans l'infertilité.
-La variation de la concentration plasmatique du glucose est utilisée comme indicateur du statut énergétique de la vache ; Cependant la glycémie reste constante durant les derniers mois de gestation (0,66 plus au moins 0,02g/1); Chute au début de lactation (0,5 à 0,55 g/l), puis remonte au-delà de 100 jours de lactation (0,6 a 0,65 g/l). Alors que les valeurs normales de la glycémie chez la vache sont comprises entre (0,5 et 0,7 g/1). Une lactation élevée et une insuffisance énergétique favorisent l'hypoglycémie et concourent indirectement à perturber la reprise de l'activité ovarienne. -Contrairement aux déséquilibres énergétiques, les déséquilibres azotés ont des conséquences rapidement constatables. - La variation de la concentration plasmatique du certain marqueur (Hématocrite et hémoglobine, Protéines plasmatiques, Ammoniac, L'urée qu'est la molécule de choix) est utilisée pour suivre l'évolution du statut nutritionnel azoté de la vache
Les valeurs sanguines normales de l'urémie sont de 0.2-0.3 g/l. En début de lactation, les valeurs sont plus basses : 12 à 17 mg/1. Alors que les problèmes apparaissent pour des valeurs supérieures à 0.35 g/l ou inférieures à 0.15 g/1. La fertilité est atteinte dès que l'urémie dépasse le seuil de 0.4 g/1.
