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dc.contributor.author |
MOKHTARI &, Manel |
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dc.contributor.author |
BENGOUIA, Houda |
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dc.date.accessioned |
2022-02-28T05:05:07Z |
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dc.date.available |
2022-02-28T05:05:07Z |
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dc.date.issued |
2021-09 |
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dc.identifier.uri |
http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/14430 |
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dc.description |
56 p. ; ill. ; 30 cm. ;+cd-rom |
fr_FR |
dc.description.abstract |
Notre étude vise à estimer et évaluer la qualité de l'air du Jardin botanique du HAMMA d’Alger via l’utilisation des lichens comme bioindicateurs.
La biodiversité lichénique au sein dudit site a été étudiée et un inventaire de la flore lichénique a été établi. La qualité de l’air a été estimée par la méthode de Kirschbaum et Wirth (1997) à travers le calcul de l’indice de qualité de l'air et la méthode de Leblanc et De Sloover (1970) par le calcul de l'indice de pureté de l'air.
Les résultats obtenus recensent 15 espèces de lichens épiphytes répartis en deux groupes selon leur capacité de résistance à la pollution atmosphérique.
Quant à l’évaluation de la qualité de l'air du jardin, il en ressort que le jardin français est classé en quatre (4) zones à savoir les zones II, III, IV et V alors que le jardin anglais en zones I, II, III et IV ce qui signifie que l’air du jardin est moyennement pollué.
Les résultats obtenus montrent clairement un lien étroit entre le nombre d’espèces lichéniques recensées, leur taux de recouvrement et le degré de pollution. |
fr_FR |
dc.language.iso |
fr |
fr_FR |
dc.subject |
lichen |
fr_FR |
dc.subject |
biosurveillance |
fr_FR |
dc.subject |
pollution atmosphérique |
fr_FR |
dc.subject |
bioindication |
fr_FR |
dc.title |
Utilisation des lichens comme bioindicateurs de la qualité de l’air - Cas du jardin botanique du Hamma (Alger) - |
fr_FR |
dc.type |
Thesis |
fr_FR |
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