Résumé:
« WATERFRONTS REVITALIZATION ». Ce mouvement est le résultat de la délocalisation
des anciens sites portuaires en raison du tirant d’eau et de la surface limitée, le site du port a
été jugé inapproprié et insuffisant face aux nouvelles exigences du « gigantisme naval », il est
principalement basé sur conteneurisation, transport en vrac. Dans cette recherche, l’objectif est
de mettre la lumière sur la problématique du clivage ville/port et l’absence de la vitrine
maritime dans le cas d’Alger.
Antonyme de nature dans les temps modernes, l’activité portuaire et l’activité urbaine ne
cohabitent plus en juxtaposition sur le même territoire, le port est considéré comme une source
de nuisances, de risques majeurs et de pollution qui nuit à la qualité de vie de la ville.
À vrai dire, Alger actuellement est le terrain de bataille entre la ville et le port, la préférence de
l’un se faisant toujours au détriment de l’autre. Mais d’un autre côté, il faut admettre que le port
d’Alger est caduc face aux nouvelles exigences du gigantisme naval car il est resté inchangé
depuis plus de 50ans et son remplacement est devenu plus que nécessaire aux vues des pertes
économiques qu’il cause au pays.