Résumé:
Face à la situation actuelle, les défis de la planète ne cesse de se développer, les actions
humaines ont provoquées un changement climatique engendrant des conséquences néfastes sur la
ville, le logement et ses occupants, ces dernières, ne feront que s’aggraver dans les années à venir.
Parmi lesquelles, l’apparition ou/et l’aggravation des risques majeurs. On se focalisons sur les
risques majeurs d’actualité tel que le risque de la canicule et le risque sanitaire.
Pour faire face a ce genre de risques, il est indispensable d’intégrer la notion de la résilience
urbaine et architecturale.
Le processus d’élaboration et de conception du projet s’établira en essayant de toucher
plusieurs concepts liés à la résilience urbaine et architecturale tel que les risques majeurs,
l’architecture K’sourienne pour faire face aux grandes chaleurs du risque de la canicule, ainsi que
la domesticité comme un moyen pour atténuer l’impact psychologique et mental du confinement
exigé par l’éventuelle pandémie de la covid-19 et du coup arriver a persister aux crises sanitaires.
Tout cela afin de garantir la sécurité, la solidarité et le vivre ensemble.
Pour cela, dans le site ayant fait l’objet de notre présente étude, situer dans la ville de
Ménéaa, nous avons proposé la création d’un quartier résidentiel incluant des logements collectifs,
intermédiaires et individuels, axé, d’une part, sur la résilience a différentes échelles (urbaine et
architecturale), en maintenant son existence dans l’architecture K'sourienne et ce par la prise en
considération de nouvelles exigences spatiales et nouvelles technologies, d’autre part, sur la
résilience a une échelle réduite (architecturale) au niveau du logement en se basant sur la
concrétisation de différentes caractéristiques de la domesticité pour arriver a garantir le bien-être
et le chez-soi.