Résumé:
Ovarian metastases represent the fear of the consequences of breast cancer.
Due to their considerable frequency, and their genetic impact which link
these two organs which are so important and precious for women. The
diagnosis of these metastases is o en late, which complicates their
treatment and management. Hence the need for rigorous monitoring of any
woman operated on for breast cancer, even remotely, particularly the type
of invasive lobular carcinoma
[1]
. Because the risk of secondary ovarian
lesions is five times higher in this histological type than in infiltrating ductal
carcinomas. Median survival is around 2 years. The 5-year survival is
approximately 18%. Les métastases ovariennes représentent la hantise des suites des cancers du
sein. De part de leur fréquence considérable, et de leur incidence génétique
qui relient ces deux organes aussi importants et précieux pour la femme. Le
diagnostic de ces métastases est souvent tardif, ce qui complique leur
traitement et leur prise en charge. D’où la nécessité d’une surveiller
rigoureuse, de toute femme opérée d’un cancer du sein, même à distance,
particulièrement le type de carcinome lobulaire infiltrant
[1]
. Car, le risque de survenue de lésions ovariennes secondaires est cinq fois plus élevé dans ce
type histologique que dans les carcinomes canalaires infiltrants. La survie
médiane avoisine les 2 ans. La survie à 5 ans est d'environ 18%.