Résumé:
L'Algérie est considérée comme l'une des régions méditerranéennes. Elle se distingue par la diversité du couvert végétal, ainsi que la diversification des cultures en fonction des caractéristiques pédo-clématiques.
L'olivier se distingue par sa popularité dans le milieu socio-culturel et son rôle dans la production d'un point de vue économique. Il est connu par ses diverses études pour sa capacité à résister à divers facteurs abiotiques notamment la salinité et la sécheresse. Ce dernier a des capacités d'endurance maximales à travers lesquelles il a un impact négatif important. Il réduit sa production naturelle. De nombreuses études ont été menées sur cet arbre de manière extensive, mais les variétés autochtones ne sont pas documentées et insuffisamment étudiées.
Dans cette étude, nous avons suivi le comportement de cinq cultivars algériens (Azeradj, Limli, Ferkani, Langue Miliana et Sigoise) en comparaison avec le cultivar introduit d’origine espagnol (Arbequina) résistant aux différents stress abiotiques. Cette étude permettre de valoriser et préserver le patrimoine local.
Stress hydrique soumis aux variétés avec un apport d’irrigation allant de 50, 75 et 100 % et à un stress salin en irriguant avec des solutions NaCl à des concentrations allant de 0 ,50, 100 et 200 mMol.
L'effet du stress sur les facteurs morphologiques physiologiques et biochimiques des feuilles a été évalué sur une période de trois mois.
Les variétés autochtones testées se sont comportées de la même manière et ont évolué avec une légère différence entre elle excepté faite pour la variété introduite espagnole Arbequina qui était plus stable