Résumé:
L’échec d’implantation est considéré parmi les causes principales qui limitent le succès des
techniques de la procréation médicalement assisté, Ce qui a longtemps était expliqué par un
phénomène de réceptivité endométriale anormale. Le but de notre analyse articles est de
pouvoir identifié les marqueurs de la réceptivité endométriale par rapport à la compréhension
de différentes approches morphologiques conventionnelle et innovantes, afin d’identifier les
facteurs endométiale qui contribuent à l’amélioration et la réussite de l’implantation et
prouver l’importance de la réalisation d’un bilan de la réceptivité endometriale qui englobe
toutes les autres approches avant d’engager dans un traitement de PMA. Dans ce sens on a
réalisé une étude analytique et synthétique de 30 articles qui traitent les cinq principales
approches dans le cadre de la réceptivité endométriale, ces articles ont utilisé des méthodes
tell que l’échographie endovaginale, biopsies, immunohistochimie, puces d’ADN, ERA tests
et le Win test .Nous avons trouvé l’existence d’une bonne corrélation entre l’EE optimale et la
présence des pinopodes, un profil immunitaire de faible cytotoxicité , des modifications
spécifique dans l’expression des gènes telle que la surexpression de Ostéopontine SPP1 et
IL15 avec l’interaction des plusieurs cytokines, chimokines et voies de signalisations, il y’a
une aussi une complémentarité entre l’expression de profil génétique et l’expression des
protéines, où Annexine A4 , Annexine A2 (ANXA2) et Stathmine 1 (STMN1) sont
considérées comme les protéine les plus remarquées au moment de la réceptivité
endometriale. L’ensemble de tous ces facteurs peut donner une idée plus précise sur
évaluation de cette réceptivité endométriale