Résumé:
L’étude conduite sur le cèdre de l’Atlas (Cedrus atlantica Manetti) qui est considéré comme une espèce endémique de l’Afrique du Nord, et lequelle pour objectif de connaitre l’étendu du dépérissement. Ce dernier consideré comme le résultat de plusieurs facteurs qui peuvent agir soit en concomitance soit successivement provoquant l’affaiblissement, voire la mort de l’arbre.
Pour d’analyser la réponse du cèdre de l’Atlas, spécialement la croissance en diamètre aux variations climatiques et identifier l’origine du dépérissement, qui menace la prospérité de nos forêts particulièrement au massif de Bélezma et Theniet el had qui a subi une forte régression ces dernières années à cause du phénomène de dépérissement.
Alors que, cette étude a été menée pour obtenus ces résultats qui sont montré l’interdépendance et l’influence des facteurs biologiques sur le dépérissement du cèdre, Lié principalement à la réduction de la pluviométrie et à l’augmentation des températures maximales car l’effet du paramètre pluviométrie considéré comme facteur limitant par les précipitations automnales et hivernales contribuent à la reconstitution des réserves hydriques du sol assurant, ainsi une disponibilité en eau lors du démarrage de la mise en place du cerne.
D'autre coté l’insuffisance et l’irrégularité des précipitations, couplées à l’élévation des températures qui enjoindront à la sécheresse, constituent bel et bien une dérive climatique dont l’avènement s’est corsé davantage. Car ce phénomène touché la cédraie vers sa limite inférieure altitudinale, aux expositions ensoleillées et sur les sols à forte pente.
Ces résultats mettent au jour l’urgence d’entreprendre des travaux sylvicoles pour améliorer l’état de santé des peuplements et de mettre en place un dispositif de surveillance de la santé du cèdre