Résumé:
La leucémie myéloïde chronique fait partie des maladies du sang regroupées sous le nom de « syndromes myéloprolifératifs », caractériser par une anomalie génétique acquise : la translocation t (9 ; 22) ou le chromosome Philadelphie et son oncogène BCR-ABL.
Ce travail en objectif de connaitre l’intérêt de biologie moléculaire (Rt-PCR) dans le diagnostic et le suivi des maladies avec une leucémie myéloïde chronique.
Nous avons effectué une étude prospective portants 8 patients atteints de la leucémie myéloïde chronique aux niveaux CAC laboratoire central-Blida.
En utilisant des techniques de la biologie moléculaire pour détecter les transcrit et pour déterminer l’efficacité du traitement.
Tous nos patients sont diagnostiques en phase chronique, nous avons 6 femmes et 2 hommes on note une prédominance féminine avec un sexe ration H/F=0,33
Cliniquement, la splénomégalie était le principal symptôme retrouves chez nos patients elle a été observée dans 75% des cas.
Biologiquement, l’hémogramme a montré une hyperleucocytose importante chez tous nos patients 100%, le taux de plaquettes dans notre série est varié entre117000/mm3 et 386000/mm3.
Le suivi moléculaire permet à obtenir deux sous-groupes selon les résultats de PCR quantitatif : répondeurs qui ont le type de transcrit Mbcr et non répondeur qui ont le type de transcrit M-mbcr
En conclusion, Rt-PCR est la meilleure technique pour le diagnostic et le suivi des patients atteint de LMC