Résumé:
En Algérie, le poivron représente une culture très importante occupant une place conséquente dans le domaine agronomique et économique.
Pour favoriser la croissance de cette culture et pallier les différents problèmes phytosanitaires, notre travail vise à évaluer et comparer l’effet des différents types de fertilisation (sous forme de gel, poudre ou d’origine végétale), par application racinaire et foliaire, sur la croissance végétale, le rendement et la qualité du fruit. Cette expérimentation a été réalisée sur deux variétés de poivron (estefan et adina) cultivées sur un système hydroponique.
Parallèlement à cet essai, une étude phytochimique a été réalisée dans le but de confirmer l’effet des différents fertilisants sur la croissance végétale.
Les résultats obtenus ont montré que la fertilisation chimique (gel ou poudre ou liquide ) est beaucoup plus performante que la biofertilisation (végétale), et ce par application racinaire sur les deux variétés étudiées. Toutefois, l’application foliaire a montré des résultats remarquables pour les deux types de fertilisation (biologique ou chimique)