Résumé:
l’ovaire kystique est fixé dans du formol tamponné pour une étude immunohistochimique. Les résultats préliminaires d’immunomarquage révèlent une localisation du Ki-67 au niveau des cellules de la thèque des follicules secondaires. Le stroma ovarien constitué de tissu conjonctif ne montre aucun de marquage.
En conclusion, la mise en évidence Ki-67 par la technique d’immunohistochimie, permet d’évaluer l’index de prolifération cellulaire dans les tissus en développement. L’évaluation de ce biomarqueur est largement utilisée en oncologie