Résumé:
La reconquête des quartiers portuaires par la recomposition urbaine s’inscrit dans une nouvelle
démarche de faire l’urbain, il s’agit du projet urbain, et de son large champs d’actions.
Le port et la ville ont de tout les temps formé un « couple fusionnelle » leur imbrication et leur
complémentarité fonctionnelle leur permettez d’exister dans une parfaite harmonie. Cependant,
la relation des villes et des ports a très vite changé à l’instar des bouleversements qu’ont connu
toutes les villes. Petit à petit la ville tourne le dos à la mer et par conséquent au port, ce qui créa
une rupture entre la ville et le port. En délocalisant les activités portuaires hors de la ville, il en
résulta des poches vides au sein des villes créant ainsi des opportunités de reconquête et de
recomposition urbaine.
Les fronts d’eau des villes portuaires ont connue un vaste mouvement de réaménagement a partir
des années 50, les précurseurs furent les villes nord américaine avec
leur « waterfrontsrevtalizations», ce mouvement appelé également « la recomposition ville port » viens après une période de distance entre ville et port, un clivage enclenché par la
révolution industrielle. Cette rupture existe encore dans certaines villes, en l’occurrence les
villes du tiers monde vue leur retard, Alger n’échappe pas a ce phénomène.
Nous tacherons de mettre la lumière sur un phénomène récurent, la rupture vile/port dans le cas
de la ville d’Alger. Sachant que le port est désormais considéré comme source de nuisance qui
altère la qualité de vie de la ville.
Le clivage que vie la ville et le port suite à la délocalisation future du port d’Alger, nous permet
de penser que seul la recomposition ville/port peut répondre au problème de rupture.