Résumé:
L'architecture est une manière de vivre qui s'exprime en construction. L'imbrication de la
réflexion architecturale et les paramètres de la ville représentent l'environnement et le
mode de vie des usagers.
Une sensation d'un malaise qui a touché le fonctionnement de la ville, nous a dirigés vers
une comparaison entre la théorie appris et la réalité produite et aussi une comparaison entre
le centre ancien et son extension nouvelle pour affirmer la crise architecturale qui a menacé
l'aspect identitaire du paysage urbaine. La perte du caractère est bien réelle et la ville a changé dans son ensemble: d'une ville
homogène à une ville hétérogène d'une ville réfléchie à une ville anarchique avec
l'apparition de plusieurs problèmes qui ont dégénéré le fonctionnement, affaiblit la qualité
urbaine et perturbé la mode de vie.
La corrélation entre les deux contextes : spatial et social qui constituent la ville de plus en
plus floue les villes apparaissent complexes, les extensions représentent une rupture avec le
centre ancien détachées de son contexte et négligé le paysage naturel et culturel.
L'articulation entre les déférentes entités détachées , nous a permis de rompre avec
planification de juxtaposition et renouer avec les vertus de la composition, la production
intégré dans son paysage qui prône la mixité urbaine, la mixité fonctionnelle et la mixité
sociale, dont le but majeur est d’offrir la meilleure qualité de vie aux usagers.