Résumé:
Le stress oxydatif joue un rôle important dans le développement de diabète type1 (DT1) et les enzymes antioxydants réduisent ce stress oxydatif. Les variations génétiques des gènes antioxydants pourraient donc être impliquées dans la pathogénie de DT1. Notre étude in silico repose sur l’utilisation des outils bioinformatique pour étudier les interactions entre les gènes antioxydants : superoxyde dismutase1 et 2 : ( SODl , SOD2), la glutathion peroxydase (GPx1) et la catalase (CAT). Aussi de comprendre la relation de ces derniers avec le gène d’insuline et le DT1.
Les séquences protéiques ont été récupérés et blastés pour rechercher des similitudes de régions avec d’autres gènes,puis alignés entre eux par l’outil UNIPROT. L’obtention des arbres phylogénique sa été faite par l’outil Cluster Omega. Pour la visualisation des interactions entre nos séquences protéiques, nous avons utilisé les outils STRING, GeneMania et Bio GRID. La recherche d’association entre le diabète type1 et les variants polymorphes des enzymes antioxydantes par l’outil db SNP et UCSC.
Nos résultats confirment l’association des enzymes antioxydantes dans la physiopathologie du diabète type1 grâce aux interactions moléculaires des gènes antioxydant et la presence de variants. Ces résultats peuvent nous aider aussi, à comprendre les voies et la prédiction des fonctions des enzymes antioxydantes et leurs rôles dans le DT1.
