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dc.contributor.author |
Mecellah, Fatima Zahra El Batoul |
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dc.date.accessioned |
2019-11-12T08:50:30Z |
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dc.date.available |
2019-11-12T08:50:30Z |
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dc.date.issued |
2018 |
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dc.identifier.uri |
http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/2627 |
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dc.description.abstract |
La « Harat » est une habitation collective de l’époque coloniale située à
Birkhadem. Elle a été la deuxième ville bâtie par la France coloniale à Alger
après la ville de Delly Brahim.
Les espaces qui caractérisent la Harat sont la Dakhla, le Mrah et les Boyoutes ;
autrement dit les espaces : entrée, patio et les chambres, hérités de la maison
coloniale. La Harat Algérienne est conçue comme un système introverti,
réalisée dans une enveloppe homogène. Le Mrah en est le pivot.
De modèle, elle est vite devenue un type adopté par la population algérienne
mais différente d’une région à une autre. La Harat permet aujourd’hui une vie
de voisinage et une culture de l’urbanité que notre logement collectif n’égalera
peut être jamais. Quelque part dans notre « habiter », la Harat s’ancre bien
dans notre patrimoine urbanistique et architectural et peut servir de modèle au
logement collectif.
La Harat est un patrimoine architectural exceptionnel mais malheureusement
dans un état délabré qui mérite d’être restauré, réhabilité et conservé. |
fr_FR |
dc.language.iso |
fr |
fr_FR |
dc.publisher |
université blida1 Institut d'architecture et d'urbanisme |
fr_FR |
dc.relation.ispartofseries |
;4.720.1202 |
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dc.subject |
Harat |
fr_FR |
dc.subject |
logement collectif |
fr_FR |
dc.subject |
urbanité |
fr_FR |
dc.subject |
Patrimoine |
fr_FR |
dc.subject |
réhabilité |
fr_FR |
dc.subject |
restauré |
fr_FR |
dc.title |
Monographie sur une maison collective coloniale (Harat) à Birkhadem |
fr_FR |
dc.type |
Thesis |
fr_FR |
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