Université Blida 1

Place des médicaments à effet incrétine dans la prise en charge du diabète de type 2

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dc.contributor.author HAMMOUDA, Nour el houda
dc.contributor.author HAMRI, Fadhila
dc.contributor.author DJELLOULI, S. (promoteur)
dc.date.accessioned 2024-04-07T09:19:55Z
dc.date.available 2024-04-07T09:19:55Z
dc.date.issued 2022
dc.identifier.uri https://di.univ-blida.dz/jspui/handle/123456789/28773
dc.description MPHA 590 fr_FR
dc.description.abstract Les mécanismes pathologiques complexes responsables du développement du DT2 ne sont pas entièrement traités par les médicaments conventionnels, qui sont également associés à des effets indésirables, tels que la prise de poids ou l’hypoglycémie. Deux types de thérapie à base des incrétines sont actuellement utilisées : les incrétinomimétiques (GLP-1RA) qui se lient à des récepteurs spécifiques et imitent l’action du GLP-1 naturel et les amplificateurs d’incrétines (IDDP-4) qui dégradent les hormones incrétines et prolongent ainsi leur activité. Les deux offrent des avantages importants par rapport des agents précédents. En plus de l’efficacité hypoglycémiante prouvée, ils favorisent la perte de poids en induisant la satiété, inhibent la sécrétion du glucagon avec maintien des mécanismes de contre-régulation et présentent des avantages cardiovasculaires, tout en ayant un profil de risque faible. Il est important de noter que des études à court terme ont montré que les incrétines/thérapies à base d’incrétines protègent les cellules bêta (en améliorant la prolifération et la différenciation cellulaire et en inhibant l’apoptose) et stimulent leur fonction (en recrutant les cellules bêta dans le processus de sécrétion et en augmentant la biosynthèse/sécrétion d’insuline). Ces médicaments ont la possibilité d’interférer avec la progression de la maladie si ils sont utilisées comme intervention précoce, lorsqu’une masse/fonction de cellules bêta suffisantes peut encore être préservée ou restaurée. Abstract : The complex pathological mechanisms responsible for development of type 2 diabetes are not fully addressed by conventional drugs, which are also associated with inconvenient side effects such as weight gain or hypoglycemia. Two types of incretin-based therapies are now in use: incretin mimetics (glucagon-like peptide-1 [GLP-1] receptor agonists that bind specific receptors and mimic the action of natural GLP-1) and incretin enhancers (inhibitors of the enzyme that degrade the incretin hormones and thus prolong their activity). Both offer important advantages over previous agents. In addition to the proven glucose-lowering efficacy, they promote weight loss (or are weight neutral) by slowing gastric emptying and inducing satiety, inhibit glucagon secretion with maintenance of counterregulatory mechanisms, and exhibit cardiovascular benefits, while having a low risk profile. Importantly, short-term studies have shown that incretins/incretin-based therapies protect β-cells (by enhancing cell proliferation and differentiation and inhibiting apoptosis) and stimulate their function (by recruiting β-cells to the secretory process and increasing insulin biosynthesis/secretion). These therapies have the opportunity to interfere with the disease progression if used as an early intervention, when enough β-cell mass/function can still be preserved or restored. fr_FR
dc.language.iso fr fr_FR
dc.publisher Université de Blida 1, Faculté de Medecine fr_FR
dc.title Place des médicaments à effet incrétine dans la prise en charge du diabète de type 2 fr_FR
dc.type Thesis fr_FR


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