Résumé:
Quand, à la fin des années 1970, la notion de stratégie résidentielle a fait son apparition dans les travaux sur les quartiers populaires des villes du tiers-monde, elle a contribué à diversifier les approches des sciences sociales centrées sur les marges de man uvre des acteurs en raison des pistes nouvelles qu'elle ouvrait. A cet égard, qu'en est-il vingt ans plus tard ' Qu'avons nous réellement « appris » de ces diverses stratégies que déploient les couches défavorisées des villes du tiers-monde ' Quel impact réel ont-elles tant sur la production et la gestion des tissus urbains que sur les conditions de vie des habitants qui les initient '