Université Blida 1

Etude rétrospective et prospective de l’impact du syndrome de Cushing sur la fertilité chez les patients suivis au niveau du Centre Pierre et Marie Curie et l’hôpital « Mustapha Pacha » d’Alger centre

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dc.contributor.author OURRAD, Sarah
dc.contributor.author RILI, Amina
dc.date.accessioned 2019-11-19T09:17:19Z
dc.date.available 2019-11-19T09:17:19Z
dc.date.issued 2017-09-20
dc.identifier.uri http://di.univ-blida.dz:8080/jspui/handle/123456789/3194
dc.description 100p ; ill ; 30cm ; + cd-rom fr_FR
dc.description.abstract Notre travail a porté sur la recherché de l’impact du syndrome de Cushing sur la fertilité chez 100 patients suivis au niveau du service d’endocrinologie du Centre Pierre et Marie Curie d’Alger. Nous avons abordé en premier lieu l’aspect épidémiologique, clinique ainsi que les complications de la maladie afin de déterminer son étiologie. Nous avons effectué une double étude : une étude rétrospective sur dossiers et une étude prospective basée sur des dosages hormonaux ACTH, Cortisol, PRL, LH, FSH, oestrogène, progestérone et testostérone, TSH et FT4 suivis d’une étude anatomo-pathologique des adénomes hypophysaires de six patients ayant subi une adénomectomie et des adénomes surrénaliens de deux patients ayant subi une surrénalectomie au niveau du service d’anatomopathologie de l’hôpital «Mustapha Pacha» d’Alger centre. Notre étude rétrospective a montré une prédominance féminine à 84% avec deux pics de fréquence [20 à 30[ans et [30 à 40[ans. Les signes d’infertilité sont observés chez les deux sexes : avec prédominance de l’aménorrhée et d’hypogonadisme-hypogonadotrope biologique chez le sexe féminin (94,04% et 89,28% respectivement) alors que chez le sexe masculin, il y a prédominance d’hypogonadisme hypogonadotrope biologique, dysfonctionnement érectile et baisse de libido (81,25%, 75% et 62,50% respectivement). Les dosages hormonaux confirment le diagnostic d’hypogonadisme hypogonadotrope avec une baisse des hormones gonadiques (oestrogène, progestérone et testostérone), gonadotrophiques (FSH et LH). En revanche, les taux de la prolactine sont supérieurs aux normes. En cas du syndrome de Cushing les taux du cortisol sont élevés et en cas de maladie de Cushing les taux d’ACTH sont également élevés et encore plus élevés chez les macro-adénomes par rapport aux micro-adénomes. La chirurgie a permis de rétablir ces taux et de revenir ainsi à des valeurs proches des normes. L’étude anatomo-pathologique nous a permis d’identifier la présence d’adénomes corticotropes et d’adénomes surrénaliens et avec l’immunomarquage positive à l’ACTH a confirmé le diagnostic histologique des adéomes corticotropes. fr_FR
dc.language.iso fr fr_FR
dc.subject Syndrome de Cushing fr_FR
dc.subject infertilité fr_FR
dc.subject adénomes hypophysaire fr_FR
dc.subject adénomes surrénaliens fr_FR
dc.subject hormones gonadiques fr_FR
dc.subject hormones gonadotrophiques fr_FR
dc.subject étude anatomo-pathologique fr_FR
dc.title Etude rétrospective et prospective de l’impact du syndrome de Cushing sur la fertilité chez les patients suivis au niveau du Centre Pierre et Marie Curie et l’hôpital « Mustapha Pacha » d’Alger centre fr_FR
dc.type Thesis fr_FR


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