Résumé:
Notre étude rétrospective et prospective a porté sur 70 patientes atteintes d’ovaire polykystiquesuivis au niveau du service de Gynécologie-Obstétrique au sein de l’hôpital (ISSAD-HASSANI) Beni messous (entre Mai etJuillet 2017). La problématique étant celle de connaitre le lien entre les ovaires polykystique et les troubles de l’ovulation. Aussi, nous nous somme intéressé à recherché le retentissement du trouble de l’ovulation sur la fertilité.
Nos résultats ont montré que le pic de fréquence de l’âge des patientes se trouve être entre 22 et 33 ans. L’infertilité est associée avec le sopk dans 44 des cas, alors que la symptomatologie est dominée par l’hyperandrogénie (17%) causant l’hirsutisme (17%) et l’acné (10%).Le trouble du cycle ovarien (16%) ainsi l’obésité et l’anovulation avec (13%) sont moins fréquemment observé. Les taux hormonaux viennent confirmer le diagnostic d’une baisse de la progestérone et de la 17OHP, alors que les autres hormones androgéniques (Testostérone, &4 Androsténedione, SDHEA) et gonadotrophique LH, ainsi l’œstradiol et l’insuline sont vus à la hausse parallèlement au nombre de follicules et du volume de l’ovaire. L’étude anatomopathologique confirme le diagnostique de la présence de kystes folliculaires de différents tailles. Le traitement est essentiellement médicamenteux avec un taux faible de patientes orienté vers la chirurgie (36%). La prise de Citrate de Clomifène (CC)à permet de rétablir les taux hormonaux et de revenir des valeurs proche à l’état requise par rapport.
