Résumé:
Notre travail comporte deux parties une partie bibliographique et une partie pratique, sur
une période d’une semaine nous avons intégré une équipe vétérinaire au niveau du port
d’Oran afin d’enquêter sur le système de contrôle des viande rouges fraiches et congelées.
D’après nos résultats la technique d’inspection se divisé en deux étapes ; un contrôle
administratif ; demande d’inspection, le certificat Hallal, certificat d’abattage, dérogation
d’importation, certificat sanitaire, certificat d’origine, bulletins d’analyses, demande
d’analyse…etc, ce contrôle est assuré par des vétérinaires. Un contrôle des viande rouges
fraiches et congelées dans les conteneurs est assurer par toute une brigade ; les vétérinaires,
les services de douane, les services de commerce. Les conditions d’inspection sont
défavorables ainsi elle se déroule en générale sur le quai à l’aire libre, absence d’un locale
spéciale pour le contrôle des viandes rouges soit au port sec ou humide. L’inspection se
résume à un contrôle de température sans thermomètre et la vérification de mouchard
n’est pas systématique, avec une inspection visuelle et sans utilisation pH-mètre.
L’échantillonnage n’est pas représentatif pour l’inspection et pour l’analyse de laboratoire.
Durent l’inspection l’étiquetage est bien contrôler ainsi la date d’abattage, d’emballage et
de péremption. L’analyse de laboratoire est effectuée au niveau de laboratoire vétérinaire
de Tlemcen et la radioactivité à Alger, mais pour l’identification d’espèce de race et sexe elle
n’est pas assurée d’où il faut obliger les laboratoires de les faire avec des moyens adéquats.
En conclusion l’inspection des viandes rouges importées n’est pas suffisant pour assurer la
sécurité et la salubrité, notre système de contrôle est fragile ainsi nous pouvons largement
laisser passer des viandes non propres à la consommation.
